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Chroniques matinales

Chroniques matinales

Par deux points de vue passent une ...droite. Par un point de vue passe une gauche ou le contraire. Des chroniques et photographies publiées dans les journaux: "LE MONDE", "Le MONDE MAGAZINE" "LE MONDE TÉLÉVISION""LE NOUVEL OBSERVATEUR", "Le nouvel obs .fr","Les INROCK...", "LA TRIBUNE DE GENÈVE", "POLITIS",Action communiste .les informations dieppoises le réveil L'anticapitaliste, "La FRANCE "AGRICOLE",La Manche libre.fr "le Plus"."La VIGNE", "SINE mensuel "La Manche libre.fr" accréditation festival Albi, fête de l'Humanité. festival off Avignon. (plus de 1000 chroniques publiées) chroniques et flash info à Radio FMR Jusqu'à 2500 visites par jour....! événements ,photographies Igor Deperraz Normalien . études de cinéma à Paris-Sorbonne. jury Petits Molière Téléphone 0785473094

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Publié dans : #aibnbenqueteLeParisien

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photographie igor deperraz

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Publié dans : #aibnb enquete Le Parisien
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Publié dans : #velo
photo igor deperraz

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Publié dans : #tous les X
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Publié dans : #lycéees est parisien
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Publié dans : #vélo paris igor deperraz
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Publié dans : #estparisienlycéendanslarueparismacronsarko

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Publié le par igor deperraz
Publié dans : #est parisien lycéen dans la rue paris macron sarko

~~Lycéens dans la rue jusqu’aux confins de l’EST parisien

Les lycéens sont dans la rue ! Grande tradition française, passage initiatique d’une jeunesse qui n’en finit jamais d’accéder au statut de travailleur à part entière. Il n’y a pas une génération qui n’ait espéré passer les quelques mois de printemps à battre le pavé. Les raisons en sont connues depuis les années 68, on s’ennuie dans les bahuts ou du moins, on n’y trouve jamais les réponses à des questions existentielles et pratiques.

Avoir 20 ans dans un bahut français, c’est continué à vivre le rapport infantilisant propre au système éducatif français. Ce divorce entre le système éducatif et la jeunesse coûte cher à la jeunesse. Elle subit le chômage d’une façon très douloureuse. L’État français a toujours privilégié les belles lettres et fait du cérébral sa filière d’excellence.

Quid de l’excellence en menuiserie, cuisine ?…Le travail manuel est toujours considéré comme une voie de garage ou comme une filière sans prétention. Mobilisés, engagés contre un gouvernement qui n’a pas tenu ses promesses, les lycéens vont essayer de reprendre le flambeau de l’idéal soixante-huitard. Celui-là même qui a fondé les bases de notre constitution sociologique et sexologique.

Très minoritaires, ces jeunes font face à un recul net des libertés publiques pour des raisons associées aux attentats. Le déchaînement de violence ultra minoritaire surprend et peut s’expliquer par la tension permanente des personnels depuis l’État d’urgence. Si l’Est-parisien est au front comme Nanterre le fut en son temps, cette avant-garde d’un monde perdu doit faire face à l’émergence de l’esprit ultra libéral et du chacun pour soi.

Les jeunes n’ont jamais été une catégorie homogène, ils le sont d’autant moins aujourd’hui que la société du spectacle et les réseaux sociaux leur font miroiter un espace de liberté virtuel qui est en fait contrôlé par la dictature de l’immédiateté. Aujourd’hui dans la rue ! demain au meeting de Macron ou de Sarkozy ! Une jeunesse en trompe l’œil qui ne sait plus vraiment s’il y a une plage sous les pavés @

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz
Publié dans : #Ketevan Bruxelle attentat droit à l image Le Monde edition
photographie igor deperraz

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~~Bruxelles et le photographe Kardave dans la société du spectacle.

Les mêmes maux et les mêmes mots qui tournent en rond sur des chaînes d’infos ou d’in- faux. L’horreur et son cortège d’amertume. Le terrorisme ne mérite pas toute cette propagande .La compassion et l’émotion sont les seuls moteurs de notre résistance à la barbarie. Ketevan Kardava a voulu saisir cette émotion au cœur même du chao.

Tout photographe fait ce qu’il a l’habitude de faire, à chaque clin d’œil de l’histoire : Il photographie. En diffusant et publiant la photographie d’une femme assise dans son plus total dénuement, les quotidiens n’ont pas respecté l’éthique de la charte du journalisme.

Un léger floutage aurait retiré un peu de spectacle, mais aurait certainement sauvegardé l’intégrité des victimes et ce ne sont pas les excuses du preneur d’images qui pourront excuser les quotidiens y compris le journal « Le Monde « dans son édition du mercredi 23 Mars .

Journaux populistes ou dénués aujourd’hui d’éthique ? Igor Deperraz

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