La poésie s’invite dans la campagne
Quel bel oratorio de campagne
Que les belles phrases électorales
Qui essaiment en Pastorale
Et se cachent sous les passe-montagnes.
On loue Ferrat et Aragon
Pour mieux faire sortir le dragon,
Mais les vers ont un gout amer
Dans leurs habits d’Homère.
Quand la réalité fugace du temps qui passe
Rencontrera les traités européens
Et ramènera aux jardins Elyséens
Les poètes en leurs impasses
On en oubliera leurs alexandrins
Et ce n’est pas rien…
Igor Deperraz