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Chroniques matinales

Chroniques matinales

Par deux points de vue passent une ...droite. Par un point de vue passe une gauche ou le contraire. Des chroniques et photographies publiées dans les journaux: "LE MONDE", "Le MONDE MAGAZINE" "LE MONDE TÉLÉVISION""LE NOUVEL OBSERVATEUR", "Le nouvel obs .fr","Les INROCK...", "LA TRIBUNE DE GENÈVE", "POLITIS",Action communiste .les informations dieppoises le réveil L'anticapitaliste, "La FRANCE "AGRICOLE",La Manche libre.fr "le Plus"."La VIGNE", "SINE mensuel "La Manche libre.fr" accréditation festival Albi, fête de l'Humanité. festival off Avignon. (plus de 1000 chroniques publiées) chroniques et flash info à Radio FMR Jusqu'à 2500 visites par jour....! événements ,photographies Igor Deperraz Normalien . études de cinéma à Paris-Sorbonne. jury Petits Molière Téléphone 0785473094

Publié le par igor deperraz

L’inhospitalité de l’Humanité

 

Emmanuel Le Roy Ladurie pense que » le désir de confort de nos population, en soi légitime sont en contradiction flagrante avec les exigences, elles aussi fondées, du respect de l’environnement sous ses diverses formes. La pensée hégélienne elle-même amoureuse des propositions contradictoires et de leurs solution dialectique s’y casserait les dents »

Les Ogm, les pesticides ne sont que le résultat de notre assoupissement et de notre embourgeoisement collectif.

Penser bio et préservation de notre environnement revient à revenir aux temps où le laboureur était le Maitre incontesté du temps. Ces pierres qui ont formé les chemins et les bocages ont pris des milliers d’heures de travail pénibles à des générations de paysans .La moindre culture respectueuse nécessite de la main d’œuvre robuste et prête à mourir de faim les jours de grande disette.

 La Nature s’autorégule d’elle-même, y compris en faisant payer aux hommes leurs augmentation exponentielle par des famines.

 La première pollution c’est l’homme. Le confort d’une agriculture sans risque à permis cet abus de nature qui caractérise la révolution industrielle.

Nous n’hésitons pas dans un pays industrialisé à dépenser des millions d’euros pour sauver un individu mais nous refusons d’interdire les pesticides qui tuent des millions d’espèces vivantes. Un paradoxe qui échappe à la Raison des fenaisons.

Nous sommes donc condamnés à mourir de confort .Un chois hégélien comme un effroi sans fin ou une fin sans effroi.

Igor deperraz

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