Les chiffonniers des « Malus »
Si la publicité pour la mode est une formidable galerie d’Art ouverte sur le Monde, il est des limites qu’il appartiendrait de ne pas franchir.
Lorsqu’une célèbre marque de vêtement surfe sur la tendance Lolita en employant de jeunes mannequins pour taquiner le client voyeur, il y a un certain malaise et l’obligation de boycotter l’exploitation mercantile de la candeur.
La photographie n’est pas un Art innocent, elle porte les valeurs partagées par une communauté d’hommes et de femmes à un temps donné.
Dans la Grèce antique, les artistes n’ont pas hésité à montré de jeunes garçons nus mais aujourd’hui ou l’on parle à mots couverts de scandales provenant de Thaïlande ou du Maroc..
Peut on en toute impunité montrer des mineurs dans des catalogues de vêtement en mettant en avant leur séduction.
La dernière étape sera-t-elle de lancer une marque de sous vêtement pour jeunes adolescents et d’inonder le marché de catalogues aussi suggestifs.
Les châteaux de princesse sont livrés sans état d’âme à des marchands de chiffons.
Les chiffonnier des Malus n’ont comme objectif que la montée en puissance du chiffre d’affaire au mépris des conventions sociales très libre que nous partageons tous et toutes sans conservatisme .Dans ce domaine il n’est plus interdit d’interdire ….
Igor deperraz