L’ » instituteur » normand fume de l’herbe
Le Monde magasine du 19 janvier nous apprend, dans un long article sur ces quadras rouleurs de joints, qu’Hervé Martin, père de quatre enfants et instituteur en Normandie « peut se laisser aller à une légère surconsommation de cannabis. Un plaisir qu’Hervé apprécie d’autant plus qu’il consomme sa propre production de cannabis ,trois ou quatre plants qu’il fait pousser sous une petite serre . C’est comme manger les fruits ou les légumes de son jardin .désormais très regardant sur la qualité du produit, les consommateurs adultes ne veulent plus inhaler les milles et une cochonnerie avec lesquelles la résine de cannabis est souvent coupée ». Fin de citation. Heureusement Hervé a pris soin de ne pas donner son vrai nom ! Que font donc ces instituteurs de leur temps libre ? Ils ne font plus pousser les petits haricots dans des boîtes d’allumettes pour éveiller leurs enfants au plaisir de la nature. Ils cultivent des plants de cannabis pour préserver leur santé. Iront-ils par inadvertance en Normandie jusqu’à télécharger des films illégalement, au risque de passer par des scènes X à leurs élèves ! Si ses informations se confirmaient, les services de l’État feront bientôt passer des tests salivaires à tous les instituteurs de Normandie .une tâche facilitée par une présence masculine minoritaire au sein de ce corps. Hervé Martin s’est donc rendu à Saint-Ouen sous le porche d’une tour dans le 9-3 pour faire la queue avec une quinzaine d’autres personnes pour acheter une barrette de haschisch ou un sachet d’herbe ! On en viendrait à regretter nos bons vieux instituteurs avec le collier de barbe qui n’avaient peut-être pas fait toutes ses études, mais ne se noyaient pas dans ses paradis artificiels, préférant retourner le jardin de l’école avec la bêche dans leur logement de fonction. Bigre !
Igor deperraz