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Chroniques matinales

Chroniques matinales

Par deux points de vue passent une ...droite. Par un point de vue passe une gauche ou le contraire. Des chroniques et photographies publiées dans les journaux: "LE MONDE", "Le MONDE MAGAZINE" "LE MONDE TÉLÉVISION""LE NOUVEL OBSERVATEUR", "Le nouvel obs .fr","Les INROCK...", "LA TRIBUNE DE GENÈVE", "POLITIS",Action communiste .les informations dieppoises le réveil L'anticapitaliste, "La FRANCE "AGRICOLE",La Manche libre.fr "le Plus"."La VIGNE", "SINE mensuel "La Manche libre.fr" accréditation festival Albi, fête de l'Humanité. festival off Avignon. (plus de 1000 chroniques publiées) chroniques et flash info à Radio FMR Jusqu'à 2500 visites par jour....! événements ,photographies Igor Deperraz Normalien . études de cinéma à Paris-Sorbonne. jury Petits Molière Téléphone 0785473094

Publié le par igor deperraz

Pourquoi faut-il lire la presse italienne pour avoir des réponses plus cohérente que celles observées dans les médias français ? Et en quoi la Nivaquine permettrait de sauver des vies ou à apaiser les esprits …à mon modeste et inutile avis ?

Cette controverse qui agite la communauté scientifique parait bien dérisoire face à la réponse essentielle qui plaide pour sa prescription massive et qui est .

En premier lieu, la Nivaquine ne sert à rien, elle ne lutte pas contre le virus et en cela tout le monde est d’accord. Pour autant, la fonction essentielle de cette molécule est d’inhiber la réaction de notre organisme, son délire obsessionnel à traquer le virus.

Le virus n’a rien a gagné dans la destruction de son hôte et c’est pour cela qu’il n’est pas circonscrit comme Ebola .il ne provoque que très peu de morts à l’échelle de la population.

Les sujets jeunes qui décèdent le seraient par un emballement du système immunitaire.

L’association de la nivaquine et d’un anti viral pourrait être le ticket du moins perdant thérapeutique Un nivaquine que  l’on n’hésitait pas à prescrire librement pour échapper au paludisme.

Que finalement tout cela s’avère sans essais cliniques ou sans fondement thérapeutique, pourquoi alors pouvait on prendre de la nivaquine sans avoir le palu et juste pour voyager dans des zones endémiques.

Il n’y a rien a faire contre les virus, juste attendre d’y échapper par le confinement ou d’y résister mais alors pourquoi priver ceux qui vont mourir d’une infime chance d’en revenir ?

Certes les virus sont mis sous le feu des populations mais il ne faut oublier non plus que nous perdons la guerre face aux bactéries et cette guerre là, d’aucun n’en parle

 

IGOR DEPERRAZ

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