De l’affaire Kennedy à l’affaire Macron ,un Président dans le viseur…
Digne d’un scénario, l’affaire qui secoue la Présidence Macron ne révèlera jamais ses secrets, et pour cause, nous sommes au cœur de l’intérêt supérieur de la nation, et des petits secrets d’Etat. Les auteurs de fakes news pourraient écrire cette histoire avec beaucoup d’imaginations. Essayons…
En premier, dans ce scénario imaginaire, le Président de la République française serait en proie à une grande angoisse qu’il peine à maitriser : le syndrome Kennedy. La réussite, le brio, l’intelligence et au bout du fusil un ou plusieurs tireurs qui mettraient fin à une cette fulgurance.
Entrer dans la légende, pourquoi pas ! mais comme le disait Brassens, mourir pour des idées mais de mort lente. C’est donc parce que le Président redouterait l’assassinat de l’intérieur qu’il aurait délégué sa sécurité à une personne soumise et entièrement dévouée.
Le Président serait tétanisé, voir possédé par l’idée d’une mort qui empêcherait la diffusion de ses idées et plus matériellement, son christianisme évolutif anticiperait le « Juda » des derniers moments.
Emmanuel Macron redoute les corps constitués de la police et de la gendarmerie, perméable aux idées plus radicales et toujours en relations avec les ex locataires du palais.
C’est dans ce contexte de guerre psychologique que le Président aurait confié sa sécurité à un amateur.
En réactivant cette affaire, au moment opportun, les services auraient transmis les informations au compte-goutte dans le but de discréditer les réactions communicantes du pouvoir.
Deux conséquences possibles écriront la suite de ce scénario imaginaire. La première est la reprise en main de la sécurité par les fonctionnaires. La deuxième pourrait être l’enferment mental du Président dans une bulle qui a terme fragiliserait sa position politique
Vivre sous la menace de sa disparition annihile toute volonté réformatrice. En supprimant cette sécurité hors sol l’hypothèse du syndrome Kennedy se poursuit.
Tout ceci serait un mauvais scénario mais dans les silences l’imagination prend le pouvoir.
Igor Deperraz