Le 5octobre 2015, le journal LE MONDE sort enfin pourrait on dire les « Monsanto papers » démontrant les agissements de la firme industrielle pour minimiser l’impact de l’Étude de Gille-Eric Séralini, professeur de biologie à l’Université de Caen.
On lira dans cet article les croisements contre nature de Wallace Hayes mais là n’est pas l’unique torpeur de cette triste manipulation.
Un peu avant de sortir son papier dans le nouvel obs Guillaume Malaurie m’envoyait l’Étude de Séralini en y commentant son caractère explosif. Le 19 septembre 2012, son papier sortait, faisant la Une du magasine. Ce devait être le début des Monsanto papers …et non !
La suite pour lui ne fut pas à la hauteur de ce qui pourrait honorer la Presse française. Suite aux diverses manœuvres de l’industriel, le papier du Nouvel obs. fut l’objet d’attaque sans nom sur le sérieux et le professionnalisme du journaliste.
C’est ainsi que Médiapart héberge toujours un article d’un certain Yann Kindo écrivant textuellement « Je signale que le journaliste auteur de ses lignes délirantes s’appelle Guillaume Malaurie et je lui conseille d’essayer de plutôt postuler à un emploi dans des publications comme l’écran fantastique et de laisser tomber le journalisme, car visiblement les tâches que l’obs lui confie ne sont pas en phase avec sa vocation »
Cette prise de bec qui interroge sur l’hébergeur Médiapart et sa non-modération de propos rappelant des époques sombres. Guillaume Malaurie fut l’objet de doutes auprès de sa propre rédaction ……………………………………………………..
Les doutes sur les études étaient pourtant à disposition de la Presse française… Qui aujourd’hui pourra encore écrire ou contredire le professionnalisme de Guillaume Malaurie ?
Quelques lignes d’excuse ou de soutien n’auraient pas été de trop de la part de certains titres bien vite influencés par la pétrochimie ou l’alchimie de l’égarement.
Igor Deperraz