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Chroniques matinales

Chroniques matinales

Par deux points de vue passent une ...droite. Par un point de vue passe une gauche ou le contraire. Des chroniques et photographies publiées dans les journaux: "LE MONDE", "Le MONDE MAGAZINE" "LE MONDE TÉLÉVISION""LE NOUVEL OBSERVATEUR", "Le nouvel obs .fr","Les INROCK...", "LA TRIBUNE DE GENÈVE", "POLITIS",Action communiste .les informations dieppoises le réveil L'anticapitaliste, "La FRANCE "AGRICOLE",La Manche libre.fr "le Plus"."La VIGNE", "SINE mensuel "La Manche libre.fr" accréditation festival Albi, fête de l'Humanité. festival off Avignon. (plus de 1000 chroniques publiées) chroniques et flash info à Radio FMR Jusqu'à 2500 visites par jour....! événements ,photographies Igor Deperraz Normalien . études de cinéma à Paris-Sorbonne. jury Petits Molière Téléphone 0785473094

Publié le par igor deperraz

Déchetterie d’images

 

 Les photographies prises lors des vacances occupent des espaces considérables sur les mémoires des appareils photographiques. Elles rejoignent les milliers d’autres  prises en rafale durant l’année .Que faire de ces fichiers accumulés dans les greniers de nos souvenirs ?

En l’espace de quelques années, des millions de photographies pour les plus mordus du déclenchement à tout va ont envahi  nos mémoires.

Certes les disques durs portables ont atteint des capacités de stockage à la hauteur de nos addictions à l’image mais peut-on consacrer son temps libre à regarder, trier et corriger ce trésor encombrant.

Cette démarche compulsive n’apporte en réalité que perte de temps et transforme progressivement  le photographe en femme de ménage virtuelle.

Il y a donc lieu d’espérer la création de déchetteries de l’image numérique comme celles qui fleurissent aux portes de nos villes.

Ces vastes dépotoirs de la réalité pixellisée permettraient la récupération de nos clichés par des brocanteurs de l’image. A l’instar de ces bouquinistes, vendeurs de  livres poussiéreux récupérer dans les greniers de nos grands-mères.

L’époque est au tout numérique et les 100 prochaines années auront-elles aussi des collectionneurs d’images  jpeg anciennes.

Pour sauvegarder cette mémoire collective, il est temps d’envisager une déchèterie nationale afin de  recueillir pour la postérité  notre frénésie d’image temporelle et volatile.

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Publié le par igor deperraz

La casquette du facteur

 

 

Il est des habits qui ne font ni le printemps ni le moine. En croisant sur son fier destrier un facteur, portant une casquette américaine retournée comme ce petit personnage de Plantu,  je me suis posé la question de savoir ce que la casquette « la poste » était devenue. Qu’est ce qu’un facteur sans képi, sans uniforme ? Non que l’uniforme soit preuve de sérieux ou de courtoisie mais il donne à son titulaire, femme ou homme un signe extérieur de reconnaissance social. Pour Jacques Tati et pour moi aussi, le facteur c’est  plus qu’ distributeur du courrier, c’est la voix de la commune, le porteur de nouvelles, le confident intimes des bonnes et mauvaises lettres.

A voir cette casquette de base-ball et ce jeune homme lançant les journaux dans les boites comme pour mieux s’en débarrassé, j’ai compris pourquoi, mon courrier n’était plus dans bonnes mains.

Mes lettres faisaient parfois le tour du quartier et au bon vouloir d’un voisin consciencieux revenaient dans ma boite après des jours d’errance.

Notre société et La Poste ne prennent plus au sérieux nos missives, elles sont bien souvent distribuées à la va-vite sans conscience ni précaution. Le facteur et son bel uniforme ont laissé place au fast food de la distribution.

Il faut donc se résoudre à voir arriver trois ou quatre  journaux ensemble ou recevoir un courrier de relance pour une facture qui a du prendre un autre chemin que le notre.

Redonnez la casquette, l’uniforme et le temps aux facteurs de faire leur tournée.

Perdons un peu d’argent en payant  nos timbres surtaxés pou retrouver le sourire et la petite bavette qui faisait rythmer le temps des boites à lettres.

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

Redoublement hors la loi

 

Le redoublement est nocif pour la santé, voila ce que l’on devrait écrire sur les paquets de feuilles pour écolier vendus dans le commerce.

 Comme le souligne différentes  études internationales ; redoubler a un impact psychologique sur le mis au piquet. Loin d’améliorer sa scolarité, il le plonge dans l’exclusion scolaire.

Une fois ce constat établit il appartient d’éviter la situation ou de l’affronter.

L’échec momentané, lié à des difficultés familiales ou tout simplement à des difficultés de concentration ou de maturité ne pourra être rattrapé par une remise à niveau des compteurs.

Parce que il n’est pas certain que la situation exogène de l’élève s’améliore l’année suivante et parce que nul n’est dans la tête du décrocheur .Répéter  n’apportera que frustration et sentiment d’injustice.

En faisant revivre le même cursus, l’institution propose une session de rattrapage et le bilan obtenu par ce bis est presque toujours jugé constructif par ses promoteurs .Par le regard biaisé qui veut qu’une année de plus a donné des heures de travail et de la maturité en plus, le système s’auto reproduit.

Que deviendraient les redoublants s’ils passaient obligatoirement dans la classe supérieure ?

Probablement, ils continueraient leur petit arrangement avec l’institution ou parce que la nécessité fait loi se décideraient à rattraper le temps perdu.

Il n’est pas rare de voir des décrocheurs arriver en enseignement professionnel et rattraper en quelques mois des années de dernier de la classe pour obtenir l’accès à une école ou à une formation qui les passionne.

Le temps d’apprentissage ne se fait pas dans la linéarité, des vocations tardives ou des sursauts sont possibles à tout âge de la vie.

Rendre  obligatoire le passage dans la classe supérieure aurait le mérite de mettre en relation les exigences du service public d’éducation et les intérêts individuels soumis aux aléas de la vie.

Pour que l’égalité des chances soit assurée, une véritable formation pour adultes et jeunes adultes donnerait son coup de grâce à cette pratique abusive.

 

 

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

Ayatollah du temps libre

 

 Les vacances d’été apportent en kiosque  pour ceux qui les prennent et ceux qui  les regardent ses éditions vacances. Journaux Allégés ou tout simplement plus légers, on y traite plus volontiers de sujets plus enlevés.

La presse d’été n’est pas la presse de l’année. Les journalistes maisons ont laissé la clef de leur bureau aux jeunes stagiaires tout juste sortis des écoles.

Le monde de l’hémisphère Nord impose son temps à la planète .Les tremblements de terre, les scandales sont priés de respecter la trêve du 15 Juillet au 15 août. Les juges sont en vacances, les gouvernements profitent des belles piscines de la méditerranée. L’actualité se pose comme le papillon sur les fleurs de légèreté.

Le lecteur veut du rêve, de l’espoir, de la jeunesse. Le bruit des vagues se veut rassurant, le chômage se transforme en vendeur saisonnier portant le maillot de bain et recevant des sourires prononcés. La dette des pays européens a rapidement trouvé une solution pour atteindre sans encombre la fin Août .La sècheresse en Afrique et les milliers de morts attendront bien encore quelques jours.

Le monde se fige au temps imposé de l’hémisphère Nord  .Pendant ce temps, Sous l’Equateur la saison d’hiver laisse en ses bureaux ses journalistes, et ses gouvernants dans l’attente du retour généralisé des grands de la planète.

Et si les vacances n’étaient qu’un mythe, une mythologie, une croyance en un Dieu  Vacance, une nouvelle religion du temps libre.

Devra t on  légiférer pour  proscrire tout signe extérieur de prosélytisme et mettre sur une liste noire, les bikinis,short ,bronzage,tong,et journaux allégés  pour que soit enfin respecter ceux qui n’adhèrent pas à la religiosité du temps libre.

 

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

Vacances au bord de la mer.

 

 

La pluie, le vent, les embruns, le bonheur est dans le pré.

 Pendant que l’Afrique rêve de trombe d’eau  après une année de manque, il se trouve encore quelques grincheux pour ne pas savourer le plaisir de cette fraîcheur humide en abondance.

De la Picardie, des Ardennes ou de Bretagne, l’eau providentielle inonde notre humble couvre- chef.

En inversant la mode la mode du Bikini-plage-donuts et en valorisant la bruine-feu de bois- ciré, les publicitaires trouveraient certainement des arguments de choc pour valoriser nos belles régions arrosées sans restriction .

La saison dans le Nord de la France, de ce point de vue est réussie .les restaurants de la cote normande ne désemplissent pas, du moins ceux qui savent refermer rapidement la porte pour éviter les courants d’air.

Le café croissant journal peut s étirer toute la matinée sans risquer la concurrence des ballades de bord de mer.

Lâcher son cerf volant sur la pelouse de Dieppe ne relève pas non plus de la publicité mensongère .Il vole très haut dans le ciel.

Une bonne partie de pêche sur un petit bateau côtier surprendra plus d’un marin d’eau douce mais c’est un peu tout cela que l’on vient chercher sur les cotes de la Manche, le petit frisson qui vous pousse rapidement sous la couette .Les vacances quoi ?

« Le Monde », un café et un bonnet de marin…en attendant le plan sécheresse…

 

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

Un vrai jeu en ligne ? Norvège tuerie… 

 

 

La Norvège est confrontée au phénomène récurent de tuerie à grande échelle sans qu’un mobile cohérent apparaisse ou du moins sans qu’un modus operandi collectif puisse laisser présager une action politique concertée.

La police et la justice chercheront en vain des explications pertinentes à ce qui n’est en réalité qu’un révélateur  de notre société occidentale .L’individualisme et la manipulation mentale des jeux en ligne.

La génération vidéo en ligne franchit les murs de ses salons pour aller tuer, armes aux poings, les protagonistes de la vraie vie.

Comment ne pas considérer les sociétés mettant par avatars interposés des soldats en situation de guerre, de violence comme étant  les premiers responsables de ces crimes atroces qui sans mobiles apparents tuent des milliers de vrais gens virtuels.

En passant plusieurs heures sur des écrans à tuer avec des armes de guerre, les esprits les plus fragiles s’habituent à la banalisation du meurtre.  ils vivent la virtualité comme une banalité.

Loin pour eux d’être un exécutoire  des pulsions refoulés, la relation  sur la toile  devient le centre de leur vie.

Dans cette inflation graphique qui pousse  à plus de réalisme, ouvrir sa porte et sortir dans la rue, arme au poing constitue l’étape ultime du jeu virtuel.

Il nous appartient collectivement de nous interroger sur la pertinence de ne pas condamner pour incitation à la haine, ces sociétés qui  font des profits considérables en exploitant la pulsion de mort

  .Réguler  par une instance européenne le Net deviendra,à l’avenir un enjeu d’Ordre public européen.

 

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

Le temps des vacances pour les enfants ,c’est aussi le temps de lire les journaux qui fleurissent sur les tourniquets des maisons de la Presse .L’offre ne manque pas et l’on hésite plus pour motiver le consommateur à joindre à la lecture des tongs de plage ou des pistolets à eau ,le tout soigneusement emballé dans un sachet plastique étanche pour éviter toute consultation préalable.

Qu’importe le contenu pourvu que l’on ait l’ivresse. Et en cette prompte lecture, l’ivresse est de bien courte durée. Une fois passée, les belles illustrations en quadrichromie des sempiternels dauphins au regard attendrissant, les pages d’un jeu simpliste pour flatter l’égo de nos chères têtes blondes vient le temps de refermer l’ouvrage d’Art.

Quelques minutes auront suffit à engloutir les cinq euros d’une promesse de lecture. En ses temps ou l’on espère redonner le gout de la lecture des quotidien à ses futures adultes, comment ne pas s’offusquer de ce crime de lèse presse.

Le parti pris de ne pas croire en l’enfant et à sa capacité de lire et relire du texte montre combien, il est difficile pour la presse écrite de donner une promesse de l’écrit à ses futurs clients.

En pariant sur l’avenir de l’image et du tout visuel, la presse jeunesse, grand publique, celle qui inonde les kiosques ,le temps des vacances joue un mauvais tour à la lecture ,aux livre et tout simplement aux parents qui sont en droit d’attendre plus de coopération et moins de démagogie dans l’acquisition par tous et toute d’un outil formidable de développement personnel et de progrès social /La lecture d’un journal

 

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

az de schistes contre gaz de shit

 

 

Le mouvement contre l’exploitation du gaz de schiste peine à convaincre d’être un nouveau Larzac. Les militants de la défense du sous sol de l’Ardèche n’ont plus la barbe et ne refond plus le monde autours d’une guitare en repeignant la maison bleue de San Francisco. Les temps ont bel et  bien changé comme les villageois de ces petits hameaux aux sols arides obligés de vendre dans les années 70 pour une poignée d’olives leurs fermes aux riches hollandais du Nord. Cette terre d’implantation européenne aux portes la méditerranée a marqué de son empreinte l’une des plus belles régions française.

Le prix des maisons et des terrains n’est plus accessibles au vulgaire, il faut dorénavant sortir à fond perdu 600 000 euros pour disposer d’une maison digne de ce nom. Des villages entiers achetés pour quelques centaines d’euros.  C’est la rançon du succès des babas cools qui avaient vu en ce lieu la nouvelle Californie latine.

L’arrivée des industriels et des géologues dans la région a profondément heurté l’esprit peace and love qui a survécu au fond des épiceries bio mais, et c’est là que réside le paradoxe, elle a compromis les velléités spéculatives des riches ôtes des plaines d’Amsterdam. L’exploitation industrielle de la région, par l’industrie minière, ou simplement industriel apporte par ce message d’industrialisation, un coup au foncier bâti

Lanas qui comptait encore dans les années 60 des commerces de proximité, a vu progressivement ses commerces fermés et les volets de ses maisons ne n’ouvrir que 15 jours par an. C’est dans ce contexte de régression économique et d’abandon du territoire par des actifs économiques que s’opposent les partisans d’une Ardèche industrielle et ceux qui souhaiteraient voir la région devenir une Réserve naturelle, préservée et réservée.

L’enjeu de ce conflit, en partie porté devant le parlement est bien de maintenir le statu quo en termes de développement économique de la Région pour sauvegarder les fortunes réalisées sur la plus value immobilière.

Il y a bien entendu consensus sur l’aberration d’une exploitation des gaz à la mode Américaine. Mais peut-on figer l’Ardèche dans l’ère glaciaire en niant toute industrialisation raisonnée du territoire, sous prétexte que de riches propriétaires veulent préserver leur capital.

Pour rejoindre les gorges les plus abruptes, les aéroports voisins et les autoroutes ont du se développer au prix de nuisance bien plus étendus que les sonars des géomètres. Il est difficile d’imposer aux collectivités territoriales alentours des compagnies low cost pour rejoindre en quelques heures les riches demeures et ne pas participer à l’effort structurel de la Région.

En n’occupant un territoire que 30 jours par ans et en refusant tout tissu social, les écologistes, s’ils avaient existé dans les années 70 auraient certainement manifesté contre l’implantation et la spéculation en cette région

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Publié le par igor deperraz

Licence sans pitance

 

 

 

Réformer la Licence, sans réformer en profondeur l’Université amènera certainement une plus grande maîtrise du processus de formation par les étudiants eux même mais ne changera en rien le processus de certification de ce diplôme auprès des entreprises.

D’une part l’offre universitaire, est pléthorique, gaspillant par l’affichage d’options honorifiques les meilleures années de milliers d’étudiants.

D’autre part, sa perméabilité avec le monde économique reste très floue.

Bien entendu, on peut s’interroger sur le financement par la collectivité publique de thèse envisageant la souffrance du Homard pendant son court processus de cuisson ou tout autre sujet du même acabit. Si l’on écarte cet aspect caricatural et exceptionnel, relevant souvent de la rumeur, l’université demeure avant toute chose, une école du libre du savoir.

L’Université ne doit elle pas ne distiller que des savoirs universels et laisser à ses étudiants l’opportunité d’obtenir par le jeu des concours une certification professionnelle.

En fin de parcours c’est bien un processus sélectif qui décidera de la future orientation professionnelle de l’étudiant

Le système français, après avoir, plus ou moins laisser espérer l’étudiant sur son diplôme pose in fine la question de la certification par un examen final hyper sélectif.

Il en va ainsi des concours de la fonction publique mais aussi des concours d’entrée aux grandes écoles ou tout simplement aux compagnons du devoir.

Pourquoi alors ne pas faire passer après le baccalauréat un test, demandant un minimum de compétence au regard de la filière choisie.

Le fait que des étudiants puissent avoir un bac scientifique ou littéraire avec des notions si éloignée de la réalité repose la question de l’utilité d’un Bac à 80 pour cent de réussite.

Certes la sucette évite le mécontentement social mais elle dissimule un poison bien plus subtil : l’amertume et un chômage massif de la jeunesse.

Il peut donc être licencieux de critiquer une démarche qui vise à généraliser les critères généreux du Bac soit 80 pour cent de réussite à la Licence si cette course vers l’abîme ne desservait pas en premier ceux qu’elle est censée servir

Igor deperraz 

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Publié le par igor deperraz

Le défilé du quatorze juillet dans la tourmente

 

Une fois balayé l’ idée reçue sur la commémoration du 14 juillet, trop souvent associée à la prise de la Bastille et non à la fête des fédérations de 1790,on mesure l’écart qui existe entre l’opinion publique qui associe le feu d’artifice et le bal populaire à la réalité politique de cette fête.Le 14 Juillet est la manifestation de l’Etat nation triomphant des langues régionales et unifiant au son du canon la patrie .Le projet révolutionnaire ,est avant tout l’idéal républicain de sortir les peuples du pouvoir des clochers.

En défilant sur les champs Elysées les régiments saluent l’autorité du pouvoir central, l’égalité la fraternité, la liberté.

Cette démarche s’est trouvée entachée par le caractère démonstratif de la puissance nucléaire au temps de la guerre froide.

En voyant passer des chars et des missiles en plein Paris l’ennemi supposé était sensé se poser des questions sur son éventuel volonté d’annexion .Le défilé pris en ces temps de tension est-ouest des allures de vitrine militaire. Une démonstration préventive de la force de frappe.

Aujourd’hui remettre en question un des derniers symboles de la Fraternité n’est pas sans danger pour la cohésion nationale. La montée des extrémistes et les tensions identitaires militent pour la pérennité des symboles.

Défiler pour la paix et enlever le caractère militaire du 14 Juillet n’est pas une mauvaise idée en soi mais cette idée généreuse n’est pas possible dans le contexte politique actuel.

En construisant une armée Européenne et en s’engageant dans une défense commune, le débat s’éteindra par lui-même.

C’est l’Europe qui portera alors les valeurs de liberté, égalité, fraternité lors d’un défilé commun

 

Igor deperraz

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