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Chroniques matinales

Chroniques matinales

Par deux points de vue passent une ...droite. Par un point de vue passe une gauche ou le contraire. Des chroniques et photographies publiées dans les journaux: "LE MONDE", "Le MONDE MAGAZINE" "LE MONDE TÉLÉVISION""LE NOUVEL OBSERVATEUR", "Le nouvel obs .fr","Les INROCK...", "LA TRIBUNE DE GENÈVE", "POLITIS",Action communiste .les informations dieppoises le réveil L'anticapitaliste, "La FRANCE "AGRICOLE",La Manche libre.fr "le Plus"."La VIGNE", "SINE mensuel "La Manche libre.fr" accréditation festival Albi, fête de l'Humanité. festival off Avignon. (plus de 1000 chroniques publiées) chroniques et flash info à Radio FMR Jusqu'à 2500 visites par jour....! événements ,photographies Igor Deperraz Normalien . études de cinéma à Paris-Sorbonne. jury Petits Molière Téléphone 0785473094

Publié le par igor deperraz

Olivier Besancenot aux orties

 

Olivier Besancenot a gagné son procès contre l’ancien distributeur du Tazer, cette arme électrique qui continue à faire débat. L’ancien patron du NPA avait été « espionné » par des détectives privés dont un ancien policier reconverti dans la filature. Cet intellectuel de 38 ans titulaire d’une Licence d’Histoire a pris comme ses aînées de la gauche contestataire le chemin de la Poste. Les centres de tri accueillant tous les étudiants à la recherche d’un Monde ouvrier idéalisé.

 La justice a donc condamné Antoine Di Zazzo à 15 mois d’emprisonnement avec sursis et 10 000 euros d’amende pour des faits graves ayant mis en cause la carrière politique d’un responsable politique national.  On peut s’interroger sur la l’efficacité pédagogique d’une telle décision. Dans cette affaire Olivier Besancenot dont on peut être en total désaccord politique a subi une atteinte grave à sa vie privée. Son retrait de la vie politique n’est pas étranger aux tenants et aboutissants d’une surveillance illégale.

 La protection des syndicalistes et des hommes politiques n’est pas aujourd’hui assurée d’une façon convenable et démocratique. L’intimidation, le harcèlement et le blocage des carrières expliquent en partie le faible taux de syndicalisation en France. Tout représentant syndical est la cible potentielle après son mandat de l’acharnement discret et sournois de ses employeurs .Car si la loi le protège pendant l’exercice de ce mandat, elle n’envisage rien après. Si l’on suit ce jugement, on peut se demander si de telles pratiques qui prospèrent dans les grands groupes de la Distribution vont être découragées. La lutte du pot de fer contre le pot terre .un éternel de la condition salariale française.

 

 

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

Cocorico au Mali ?

L’armée française aura fini par traverser le Mali à la manière de la caravane publicitaire du Tour de France. Des gros bras, des muscles, des rafales et des missiles pour tout gadget. Les guérilleros du désert ont depuis des dizaines d’années pris acte de leur infériorité technologique. Ils savent que la politique étrangère française est prise au piège budgétaire d’une occupation durable. Repliés dans des endroits difficilement atteignables, ces fanatiques vont se fondre dans la chaleur du désert en attendant patiemment que la caravane passe. La frontière Nord du Mali représente bien plus qu’une simple limite territoriale .Elle marque la séparation entre le Monde arabo chrétien blanc et l’Afrique noire. Un racisme larvé qui a fait suite à l’esclavage millénaire pratiqué dans la région. Aujourd’hui’on se rejette de part et d’autre de cette ligne la responsabilité des exactions commises par les dictateurs de région. À la chute de Kadhafi, on lynchait toutes les personnes de peau noire soupçonnée d’avoir servi dans la milice, aujourd’hui au Mali, on lynche, viole tout ce qui ressemble à un Arabe. Cette haine est attisée par les politiques coloniales successives des pays occidentaux .sommes-nous prêt à donner de notre temps et de notre budget pour que le Mali se dote d’une armée bien payée, bien formée, acceptons-nous de baisser nos salaires, nos retraites de 20 pour cent pour payer enfin à leur prix les producteurs et les richesses du sous-sol. Abandonnerons-nous notre équipement militaire sur place pour que la force africaine soit dotée d’outil performant ? La réponse est non. Dans quatre ans, quarante otages croupiront dans les grottes de la région dans l’indifférence générale et les islamistes auront entre-temps changé de stratégie. Une guerre qui ne fait que prendre des positions de l’ennemi sans le réduire est une guerre perdue. Une belle traversée du désert qui peut rivaliser avec le Paris Dakar, mais aucunement un anéantissement de l’adversaire. C’est pour cette raison que les partenaires de la France se sont montrés prudent .les islamistes sont toujours en embuscade avec le Temps comme arme de destruction massive.

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

Turgot est de retour

Et voilà que nos bons vieux instituteurs d’antan à la blouse grise sont pris malgré eux dans la tourmente. on les soupçonne de corporatisme. Les corporations, rappelons-le sont apparues au 11 siècle. Elles définissaient un métier, un statut et déjà un privilège ! Quand Turgot les abolit par l’édit du 5 février 1776, tout le monde s’en félicite sauf les intéressés qui vivaient depuis trop longtemps sur leurs acquis. Le système de Maître, apprenti, valet a-t-il survécu aux lois révolutionnaires pour se réinterpréter dans le corps des hussards de la 5’ république ?

Depuis qu’ils ont hérité du statut honorable de Professeur, les Maîtres d’école sont passés dans la catégorie A de la fonction publique, ce qui leur assure un salaire correct au regard de leur prédécesseur, les instituteurs. L’État dans sa largesse les dispense aussi de travailler pendant les petites vacances scolaires et le temps libre n’est il pas devenu aujourd’hui une valeur aussi précieuse que l’argent ?

La liberté pédagogique leur permet d’enseigner avec une relative autonomie que l’on ne retrouve que dans les professions libérales. On peut donc parler de Corporatisme comme Gérard Courtois le suggère avec des arguments maladroits. Les enseignants jouissent bien d’un statut et de privilèges. Pourtant à l’intérieur du « Corps » professoral, ils appartiennent à la catégorie des valets parce que majoritairement féminisés et donc inévitablement sous-payés.

S’ils font plus de 35 heures par semaine alors que Jack Lang leur a précisé qu’il devait prendre la réduction du temps de travail sur leur temps de préparation ,c’est par choix individuel.

La réforme scolaire et le retour du mercredi matin entraîneront-ils la Turgotisation du Statut de 1952 ? Les gouvernements qui se succèdent et les ministres se sont toujours heurtés aux puissants syndicats que l’on soupçonne de cogestion dans les couloirs du Ministère.

Mais alors pourquoi l’État a il après la libération donné ce corpus de privilèges aux Professeurs. D’une part la pénibilité du métier est incontestable et il est inenvisageable d’enseigner en face d’un public âgé de moins de 10 ans à 60 ans. D’autre part, les instituteurs ont été et sont le vivier du monde associatif et politique. Ce privilège temps permettant une formation intellectuelle de qualité et un investissement gratuit et inestimable dans le tissu républicain.

Le Corporatisme républicain des professeurs a depuis 50 ans permis de maintenir un enseignement laïque dispensé par des professeurs libres de tous les pouvoirs. Attaquer frontalement l’enseignement primaire est disproportionné dans un système inégalitaire octroyant aux professeurs de collège et de lycée 18 heures de travail semaine pour un même statut. Le Professeur de philosophie Vincent Peillon pourrait lire ou relire ce passage du contrat social de Rousseau », la liberté n’étant pas un fruit de tous les climats n’est pas à la portée de tous les peuples. Plus on médite ce principe établi par Montesquieu, plus on en sent la vérité. Plus on le conteste, plus on donne occasion de l’établir par de nouvelles preuves « 

Igor Deperraz

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Publié le par igor deperraz

L’arche Delanoë accoste sur la rive droite

 

La reconquête de la Seine continue à faire polémique. Bertrand Delanoë ne tenait pas à quitter la Mairie de Paris sans laisser pour la postérité une marque durable de son passage. Ce seront donc les Berges de la Seine. Un pied de nez à Georges Pompidou qui avait sacralisé en 1966 l’automobile en plein cœur de la Capitale. Tout n’est pas encore gagné, mais la reconquête du centre-ville par ses habitants est actée. Comme d’autres grandes villes de France, Paris retrouve le charme des promenades le long des rives de son fleuve.

Une démarche romantique qui résume assez bien le règne de Bertrand Delanoë sur la Capitale. Dorénavant il sera possible de manifester sur deux kilomètres en même temps contre le mariage pour tous : rive droite et pour le mariage pour tous : rive gauche. Pourquoi alors ne pas imaginer des joutes fluviales pour en découdre symboliquement. Il était temps que Paris se réveille, les autres Capitales européennes, parmi les plus libérales ont déjà mis les automobilistes et leur symbole phallique aux portes de leurs cités.

Un beau cadeau fait au Parisien qui pourront  bientôt épouser le Maire de Paris en se faisant photographier dans les jardins flottants. Rebaptisons par la même occasion les quais de Seine en le renommant quai Delanoë. Les opposants au mariage homosexuel n’ont rien à craindre.  C’est Toulouse que l’on surnomme la ville rose.

Igor Deperraz

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Publié le par igor deperraz

Pascal Galinier et Dominique Buffier dans les coulisses du Monde.

Dominique Buffier et Pascal Galinier occupent deux bureaux contigus en haut de l’imposant bâtiment du journal « Le Monde ». C’est en ces lieux proches du pouvoir qu’arrive l’imposant courrier des lecteurs du Monde (plus de cinq cents lettres) et c’est là aussi que Pascal Galinier en tant que Médiateur tente de concilier une rédaction forte de plus de 300 journalistes avec les 2.2 millions de lecteurs réguliers du journal. Les deux hommes travaillent ensemble tout en gardant leur indépendance.

Pascal Galinier n’a pas fait d’école de journalisme, il est au Monde depuis 1996 et fut ingénieur automobile. Toujours attentif à ce que l’on raconte, il ne se laisse pas emporter par le lyrisme de son interlocuteur, les faits sont dans l’action et non dans l’emphase ou la fiction .C'est le compas du journal.

Dominique Buffier vient du Monde philatélique et sous des apparences joviales, aime la rigueur et le sérieux de l’analyse. Il ne supporte pas l’imprécision et l’erreur sur les noms propres .C’est l’équerre du journal. À eux deux, ils totalisent plus d’ une centaine d’années. S’ils ont vu se succéder les différents patrons, ils ont conservé leur indépendance. Domique Buffier  lit avec attention les courriers du jour, sa sélection est une alchimie qu’il maîtrise à merveille. Une sélection prenant en compte l’origine géographique de ses lecteurs, leurs qualités littéraires. Un bon carnet d’adresses d’habitués qui lui permet chaque jour de proposer, dans un espace qui fluctue avec les politiques éditoriales des lettres sur des sujets d’actualité. Il arrive aussi que le responsable d’édition lui renvoie un texte pour une imprécision ou pour un conflit avec la ligne éditoriale. C’est ce qu’il redoute le plus.

Pendant ce temps Pascal Galinier discute avec le directeur éditorial au sujet du papier qui enflamme une partie des lecteurs. Ce n’est pas facile de faire toutes les semaines un article pour réconcilier des clients et les journalistes. Un exercice de haut vol qui va plutôt bien à Pascal Galinier qui n’est pas homme a affiché des milliers d’amis sur les réseaux sociaux. Sur l’avenir du journal, les deux journalistes ont un avis divergeant. Pour le médiateur, la Presse papier doit se réformer et le numérique prendra l’avantage, Pascal Galinier a ainsi largement contribué au recrutement de jeunes journaliste en herbe (68) avec le Monde académie.

 Pour Dominique Buffier, la presse écrite n’a pas dit son dernier mot. Ils ont conscience d’être le lien entre l’intérêt du lecteur et la rédaction. Le responsable du courrier est devenu au fil du temps un chef de rubrique de « lecteurs » se « professionnalisant » chaque jour un peu plus. Il n’hésite pas à soulever la question du  statut particulier de cette forme d’écriture au sein des colonnes du journal. Le contributeur a un statut bien fragile puisqu’il n’a aucun droit .S’il froisse les susceptibilités, ses courriers seront tout simplement ignorés.

 Pascal Galinier repêchera peut-être le malheureux dans sa chronique. Il est 17 heures et il faut déjà penser au lendemain, l’actualité ne s’arrête jamais. S’il est une habitude de la Maison auquel pascal Galinier n’a jamais pu s’habituer, c’est de se lever tôt. Dominique Buffier se mangerait bien une petite pâtisserie, mais surtout ne lui dites pas qu’il est gourmand ,il s’insurgerait contre cette immixtion dans sa vie privée en vous écrivant un courrier d’une belle écriture gaullienne en cherchant de sa main gauche le timbre rare qui fait défaut à l’une des plus belles collections de Paris . Igor deperraz.

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Publié le par igor deperraz

La réforme Peillon prise entre les deux mamelles historiques de la Gauche

Dans le bras de fer qui s’annonce avec leur ministre, les enseignants du primaire partent en ordre dispersé. La semaine de quatre jours est une erreur fonctionnelle incontestable. Tous les enseignants y compris Parisiens s’accordent sur ce point, mais la journée proposée par le nouveau ministre de l’Éducation n’allège en rien les heures de présence des élèves.

Chacun a donc sa petite idée sur sa semaine ou sur un idéal qui ne parviendra jamais à satisfaire personne. Vincent Peillon se présente donc comme Salomon et prend l’opinion publique à témoin. Les instituteurs se retrancheraient derrière leur légendaire corporatisme. Qu’importe qu’ils soient payés un tiers de moins que leurs homologues allemands et qu’importe qu’ils aient plus d’heures qu’eux en présence des élèves. Ils sont sommés de s’adapter à la crise. En somme, les instituteurs, pas les professeurs agrégés, pas les profs de Fac ne doivent contribuer à l’effort national. Ne sont-ils pas les fameux hussards de la République ? Les deux mamelles historiques de la France !

En s’attaquant à un corps majoritairement féminisé, le ministre savait qu’il ne prenait pas beaucoup de risques. Le don de soi, le travail invisible et ménager sont faits majoritairement par les femmes. Une réforme de pacotille qui n’était donc pas compliquée à faire passer dans l’opinion publique.

Les collectivités locales s’adapteront en prolongeant le temps du midi et en supprimant les aides aux associations sportives qui travaillaient le mercredi. Les professeurs travailleront avec une amplitude horaire usuelle dans le monde du travail.

Les hussardes noires travailleront comme les secrétaires en regardant leur montre et en ne laissant plus filer le temps pour le simple plaisir d’enseigner sans noter leurs heures supplémentaires. Un calcul horaire en défaveur du ministre.

La réforme Peilllon aura le mérite de couper définitivement le cordon ombilical entre la gauche de gouvernement et ses Instituteurs. La première grande réforme politique de ce gouvernement qu’il faut souligner

 

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

DSK fine

Dominique Strauss Kahn n’apprécie guère la pression médiatique dont il fait l’objet. Son avocat accuse par la même occasion les journaux de troubler la retraite paisible de l’ancien Directeur du FMI ou de l’ancien prisonnier de la forteresse New Yorkaise selon le point de vue que l’on adopte pour comprendre l’affaire du Carlton. DSK bénéficie pourtant dans la presse d’une certaine mansuétude langagière. On parle d’une escort girl pour l’ancien ministre.  Ce qui atténue la qualification professionnelle de la célèbre  "Jade ». Pour le commun des mortelles, on parlerait de P…en quatre lettres, mais la personnalité extraordinaire de DSK vaut bien cette précaution sémantique. La presse n’a pourtant pas cessé de ménager le grand homme en évoquant des parties fines là où d’autres auraient eu le droit à « partouze » ; le procès fait à la presse est donc bien singulier.

igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

Florence Cassez au pays de l’or inca

 

Florence Cassez Crépin sort libre, après avoir passé 7 ans dans les prisons mexicaines. Un dénouement heureux d’une affaire qui n’a jamais livré ses secrets. Vallarta  Cisnéro, son compagnon était soupçonné de faire partie de la bande du Zodiac. Une pratique mafieuse courante dans cette région qui consiste à enlever des personnes pour monnayer leur libération. Florence Cassez ne savait certainement pas que son ami mexicain avait été en affaires avec Eduardo Margolis ?

La frontière entre la Police,  les trafiquants et le politique n’étant pas toujours très claire, la jeune femme pouvait donc bénéficier du doute. Ce doute qui ne porte pas sur la culpabilité de Madame Cassez mais porte sur sa naïveté ? Beaucoup d’argent facile devait circuler autour d’elle, et il est difficile à croire aujourd’hui que les personnes gravitant autour de Vallarta Cisnéro ont pensé avoir affaire à un représentant de commerce ou un gagnant de la loterie .La compagne de Jacques Mesrine n’était certainement pas dans cette ambiguïté. L’amour rend donc aveugle, c’est la seule réponse que l’on peut donner. On peut aussi comprendre la « haine » de toutes les victimes d’enlèvement crapuleux qui voyaient dans cette libération un signe de faiblesse .Florence Cassez a donc été le jouet involontaire de la violence mexicaine. Nous ne pouvons cependant pas faire de cette libération un évènement politique important si l’on pense au sort des otages français qui ne bénéficient pas de la même couverture médiatique

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

Un éditorial étriqué et lamentable à la Une du" Monde"!!!!!!! 

 

La tradition au « Monde » veut que l’édito ne soit pas signé. C’est donc au nom de la Rédaction que Gerard Courtois  écrit  « le plus étriqué et lamentable » papier en première page de ces dernières années. La une de la Pravda dans ses heures les plus lyriques. Les enseignants du primaire feraient preuve de corporatisme en contestant la réforme de Vincent Peillon !

Une modification unilatérale du contrat de travail qui a vu ces dernières années l’âge de la retraite passée de 55 à plus de 61 ans ,les logements de fonction disparaître ,les réformes des programmes se faire et se défaire au rythme de l’ego des politiques . La réforme en cours est vide de sens et n’allège en aucune façon la journée de travail des élèves, mais par contre alourdit le budget des collectivités locales.

Les instituteurs sont prêts pourtant à jouer le jeu d’une refondation de l’école, mais pas le jeu de la "fondation" de leur salaire. N’y a-t-il jamais eu de conflits au sein de la Rédaction du « Monde » ? Étaient ils étriqués et lamentables ? Les mauvaises performances de l’école française sont dues à la particularité française. L’accueil fraternel des populations d’origine étrangère et l’accroissement exponentiel des inégalités sociales .cet éditorial nécessiteraient bien plus qu’une simple réponse, mais un Droit de réponse tout simplement.

 

 

IGOR DEPERRAZ

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Publié le par igor deperraz

L’ » instituteur » normand fume de l’herbe

Le Monde magasine du 19 janvier nous apprend, dans un long article sur ces quadras rouleurs de joints, qu’Hervé Martin, père de quatre enfants et instituteur en Normandie « peut se laisser aller à une légère surconsommation de cannabis. Un plaisir qu’Hervé apprécie d’autant plus qu’il consomme sa propre production de cannabis ,trois ou quatre plants qu’il fait pousser sous une petite serre . C’est comme manger les fruits ou les légumes de son jardin .désormais très regardant sur la qualité du produit, les consommateurs adultes ne veulent plus inhaler les milles et une cochonnerie avec lesquelles la résine de cannabis est souvent coupée ». Fin de citation. Heureusement Hervé a pris soin de ne pas donner son vrai nom ! Que font donc ces instituteurs de leur temps libre ? Ils ne font plus pousser les petits haricots dans des boîtes d’allumettes pour éveiller leurs enfants au plaisir de la nature. Ils cultivent des plants de cannabis pour préserver leur santé. Iront-ils par inadvertance en Normandie jusqu’à télécharger des films illégalement, au risque de passer par des scènes X à leurs élèves ! Si ses informations se confirmaient, les services de l’État feront bientôt passer des tests salivaires à tous les instituteurs de Normandie .une tâche facilitée par une présence masculine minoritaire au sein de ce corps. Hervé Martin s’est donc rendu à Saint-Ouen sous le porche d’une tour dans le 9-3 pour faire la queue avec une quinzaine d’autres personnes pour acheter une barrette de haschisch ou un sachet d’herbe ! On en viendrait à regretter nos bons vieux instituteurs avec le collier de barbe qui n’avaient peut-être pas fait toutes ses études, mais ne se noyaient pas dans ses paradis artificiels, préférant retourner le jardin de l’école avec la bêche dans leur logement de fonction. Bigre !

Igor deperraz

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