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Chroniques matinales

Chroniques matinales

Par deux points de vue passent une ...droite. Par un point de vue passe une gauche ou le contraire. Des chroniques et photographies publiées dans les journaux: "LE MONDE", "Le MONDE MAGAZINE" "LE MONDE TÉLÉVISION""LE NOUVEL OBSERVATEUR", "Le nouvel obs .fr","Les INROCK...", "LA TRIBUNE DE GENÈVE", "POLITIS",Action communiste .les informations dieppoises le réveil L'anticapitaliste, "La FRANCE "AGRICOLE",La Manche libre.fr "le Plus"."La VIGNE", "SINE mensuel "La Manche libre.fr" accréditation festival Albi, fête de l'Humanité. festival off Avignon. (plus de 1000 chroniques publiées) chroniques et flash info à Radio FMR Jusqu'à 2500 visites par jour....! événements ,photographies Igor Deperraz Normalien . études de cinéma à Paris-Sorbonne. jury Petits Molière Téléphone 0785473094

Publié le par igor deperraz

 

Je vous ai compris !!!

 

 

François Hollande pose sa candidature dans l’urne de la probité et de la France. Il veut « changer le destin de notre pays »en imposant des réformes qui ont, faut- il le rappeler trébuchées, en leur temps sur les bancs de l’assemblée socialiste. L’eternel cumul des mandats et la loi de 1905 mise à mal par l’école privée ne cesse de hanter le fantôme des belles promesses tout comme le vote des étrangers et la liberté de Mazarine de grandir à l’abri des journalistes…On aimerait croire à la France et à sa Constitution mais s’est oublié un peu rapidement la supériorité du droit communautaire sur nos lois et l’encadrement de notre constitution dans les traités européens. Parlez de la France dans son cœur aujourd’hui c’est rester sur le registre de la nostalgie en oubliant les véritables enjeux politique et économique de l’Europe de demain .Si François Hollande se pose en défenseur de l’énergie nucléaire et engage son discours sur ce terrain, c’est qu’il sait qu’Eva Joly est certainement en passe de ne pas pouvoir franchir les 5 pour cent et donc de retirer sa candidature sans imposer de contrepartie. Difficile de croire à l’abandon de la politique de clan lorsque l’Assemblée, le sénat, les collectivités locales seront détenus par un seul parti ; la proportionnelle étant de fait, renvoyé aux prochaines élections .On ne peut donc parler de révolution ou plus simplement d’évolution mais de recadrage de l’action publique. En oubliant la sixième république, la décentralisation la Réforme fiscale et l’Europe, le candidat socialiste prend le risque de faire du Bayrou .Les regards de circonstance tendus de Jospin, Delanoë et Montebourg en disaient long sur le miracle Hollandais. Une apparition dans la grotte centriste qui ne fera certainement pas autant de guérisons qu’un marabout. L’effet placebo du Parti socialiste aura-t-il raison de la crise européenne ? François Hollande est peut être le seul à y croire mais il a la « France dans son cœur », on l’aurait certainement préféré dans sa tête …

 

 

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

 

 

 

 

 

 

 

 

Calbute made in France



Ne cherchez pas le mot calbute dans le dictionnaire, il est volontairement ignoré .On ne parle plus de ses dessous avec désinvolture mais avec emphase et délicatesse. La lingerie fine a dorénavant remplacé le linge de corps .Lejaby, La dernière entreprise française de confection ferme ses portes et voit sa production transférée en Tunisie parce que les mains de nos couturières valent de l’or et que l’on aurait souhaité les payer en monnaie de singe. Les françaises achètent massivement et à un prix défiant toute concurrence ces petits morceaux d’étoffe à vil prix au mépris de l’industrie française. Pour imposer le « made in France » et le sens patriotique ,nos candidats à la présidentielle seront-ils tentés d’imposer à toutes personne circulant dans l’espace publique le port du dessous , dessus ou plus simplement de laisser comme certains jeunes le sous vêtement apparent. Il en va, n’en doutons pas de l’intérêt national. Pour résister à cette déferlante de produits à bon marché exécutés dans des conditions indignes, ne doit on pas tout simplement rendre obligatoire le port du calbute  , et du panty. Ces dessous qui traversent le temps et qu’aucune entreprise étrangère ne viendra nous concurrencer sont l’avenir d’un retour à l’entre soi pour oublier l’entresoie.

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

Pourquoi le  nombre 60 000 ?


Les 60 000 postes nouveaux promis par le candidat socialiste ont-ils un sens dans une Administration tentaculaire qui a de la gène à comptabiliser ses ouailles .En alignant des chiffres, sans déconcentrer la gestion des établissement des écoles au niveau de la comcom, on assistera d’années en années à une demande inflationniste sans qu’une réalité comptable amène une plus value éducative et allège les effectifs. La mauvaise répartition des postes tient avant tout au clientélisme politique qui maintient des écoles en milieu rural avec des effectifs aléatoires. Une école avec 12 élèves pour un professeur n’amène aucune richesse pour les élèves et multiplie les difficultés d’enseignement sans optimiser les moyens. Un petite école qui ne propose qu’un service a minima peut être en décalage avec les attentes d’aujourd’hui .Cette inégalité territoriale est d’autant plus injuste qu’elle frappe de plein fouet les grands établissement recevant les élèves en grande difficulté. L’exode vers les bourgs périphériques à forte valeur ajoutée sociale renforce cette appétence pour les petits établissements .On ne peut admettre qu’un établissement ait des effectifs d’une vingtaine d’élèves par classe pendant que d’autres en supportent trente. L’Education Nationale n’a pas besoin de postes mais elle a besoin d’une véritable politique d’investissement en matière de locaux scolaire. Les établissements devraient avoir un seuil minimum d’au moins cinq classes,   correspondant aux différents niveaux d’enseignement avec une communauté éducative comprenant des infirmières, professeur de langue et remédiation scolaire. La com com est la seule entité pouvant optimiser la demande d’éducation sans continuer à brasser des chiffres pour, en fin de compte ne jamais répondre aux besoins exprimés.

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

 

 

 

 

 

 

 

 

Cheval informatique


Dans les années 1910 apparaissent aux Etats-Unis les premiers tracteurs, laissant la bête de somme à la société des loisirs. Le cheval disparut progressivement mais sûrement de nos fermes. S’il y avait encore en Savoie, dans les années 80, quelques fermes utilisant l’animal pour le fauchage et le transport du foin, le micro tracteur japonais sut très vite convaincre les plus récalcitrants. Les outils, comme les savoirs faire se sont progressivement perdus avant que la mode du tout bio ne fasse renaître ce compagnon millénaire .On assiste au retour du cheval en remplacement du tracteur .Cette belle idée se heurte néanmoins à une lacune de taille .L’innovation et la modernité .Si l’on parle volontiers de voiture électrique et d’énergie renouvelable, le secteur du machinisme agricole n’a pas fait de recherches avancées dans l’innovation en matière de traction animale. Quelle moissonneuse batteuse optimisée par l’électronique est en étude ou quel benne est prête à remplacer la charrette .Dans quinze ans le coût de l’énergie fossile se conjuguera avec un prix de main d’œuvre élevé et donnera au cheval un net avantage sur le tracteur. Comme le vélo du postier est adapté à la distribution du courrier, le boulonnais est adapté au travail des champs. Pour ne pas revenir aux années 1900 et aux travaux pénibles, il y a nécessité de produire une nouvelle gamme de machines agricoles adaptée à la traction animale et s’inscrivant dans la modernité. C’est un marché porteur d’emploi et de renouveau du métier de « laboureur » .Un certain retour à la noblesse du métier en harmonie avec la Nature et la technologie

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

 

 

 

 

 

 

 

 

FBFH Un ni oui ni non électoral


C’est une sorte de loterie électorale qui va animer les prochains mois à venir .D’un coté un président sortant qui sait qu’il ne sera pas réélu mais occupe le terrain pour ne pas laisser le champs politique à un concurrent .De l’autre, deux candidats, les deux françois qui peuvent figurer au second tour avec un profil assez semblable mais avec un soutien parlementaire aux antipodes. François Bayrou pourrait être le prochain Président de la République, François Hollande premier ministre. Une forme inédite de cohabitation qui remettrait en cause l’équilibre de la Constitution .En effet l’écart très faible au second tour entre les deux candidats ne donnerait pas une légitimité affirmée au programme présidentielle ,pas plus qu’il ne donnerait un blanc seing à l’Assemblée nationale. La gouvernance serait paralysée par la question de savoir qui du Président, soutenu par la droite ou du premier ministre soutenu par une assemblée de gauche est détendeur du message des français. Un ni oui ni non électoral.
Ce problème décisionnel est la conséquence inéluctable de la modification constitutionnelle alignant l’élection présidentielle avec les législatives .Monsieur Sarkozy a interprété le texte à l’anglo-saxonne, comme donnant au Président la conduite de la Politique et au premier ministre la gestion des affaires courantes. Mais dans cette élection, le Premier ministre pourrait conduire la Nation et le Président gérer les poignée de mains diplomatiques .Une interprétation allemande de l’Art de gouverner. Une bataille juridique pourrait alors rapidement paralyser l’exécutif français et rendre inévitable une évolution constitutionnelle en faveur de l’un ou de l’autre modèle démocratique.   igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Profs expérimentés ou bonimentés

 

Envoyer les enseignants les plus expérimentés dans les établissements difficiles ne permettra pas de rétablir l’égalité républicaine. Cette mesure nécessitant une réforme des règles de nomination impliquera une forme coercitive ou incitative d’affectation. Quelque soit la méthode choisie, affecter sur des postes difficiles des enseignants ayant de l’expérience signifie aussi faire appel aux plus âgés de ce corps .Ce que l’on supporte avec difficultés à 25 ans, insultes, violences physique et symbolique devient anxiogène à plus de trente ans. Ce qui met les établissements difficiles en porte à faux avec la République n’est pas l’expérience ou la motivation des professeurs mais l’abandon par l’Etat de ses missions fondamentales. Il n’y a plus d’Etat dans les banlieues et ce constat est unanime. Un commissariat de quartier qui ferme la nuit ,des transports en commun qui changent de route pour éviter les jets de pierre ,des écoles qui vivent en état de siège permanent .Le vide ,laissé par les services publics est rempli par les chefs mafieux des réseaux qui organisent la sécurité et l’aide sociale. Pour ces parrains, point besoin d’éducation pour se livrer à la vente de drogue ou pour organiser la prostitution. L’éducation et l’école sont vécues comme des citadelles assiégées qu’il faut sinon détruire, du moins ne pas écouter. En voulant mettre des professeurs chevronnés comme le veut l’expression consacrée, on donnera des gages de sérieux dans les ministères mais on ne fera que brasser de l’air. Cette logique d’adaptation, pour ne pas dire de compromission poussera les politiques à mettre, lorsque les professeurs chevronnés auront démissionnés, des militaires pour rétablir un Ordre perdu. Ce plan de réhabilitation des banlieues est une priorité nationale qui attend depuis vingt ans son financement et son grand ministère. Lorsque l’Etat aura rétablit le contrat citoyen avec ses habitants, les enseignants se bousculeront pour travailler dans les grandes villes. En attendant, la haine et la souffrance s’installent de parts et autres rendant chaque jour un peu lus difficile l’édification d’une éducation nationale.

 

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

 

 

 

Temps et tant de travail

 

Augmenter le temps de travail dans les entreprises et administrations permettrait certainement d’augmenter la productivité théorique des postes de travail .En supprimant les vacances des enseignants ,des magistrats ou des journalistes  ,les entreprises et administrations dégageraient mathématiquement des postes de travail et réduiraient leur coût. Une façon de tordre le cou aux trente cinq heures et à la société de loisir tout en préservant la société de consommation. Plus d’articles et de signes aux mètres carrés donnent moins de journalistes, plus d’heures de cours donnent plus d’élèves par enseignant .Remettre au travail les nantis ne déplairaient pas à feu Raymond Barre. Cette vue mécanique du travail se heurte pourtant au principe de responsabilité individuelle dans l’accomplissement d’une tache et à la qualité intrinsèque de ce travail. Lorsqu’un médecin reçoit un malade dans son cabinet quelques minutes et décèle rapidement une tumeur, pendant qu’un autre prendra une heure pour prescrire trois cachets d’aspirine ; le temps de travail objectif ne plaide pas en faveur d’une augmentation du temps de présence des médecins. Les vacances et les loisirs font parti intégrante du développement de la personnalité .Si des efforts doivent être fait pour la rentabilité sociale et économique, ils sont à chercher dans une diminution des salaires. Admettons que les professeurs, les journalistes, les magistrats, les postiers sont trop payés et renoncent à dix pour cent de leur salaire, pour mettre en péréquation le niveau de rémunération dans l’effort de crise. Cette idée heurterait les syndicats, habitués à réclamer à l’aveugle des hausses de salaires et les salariés intoxiqués par l’accumulation frénétique de biens de consommation. Défendre les trente cinq heures et la société des loisirs, c’est avant tout se battre pour le mieux vivre ensemble. Travailler moins mais travailler mieux, c’est défendre le droit à la paresse et non le droit des paresseux.

Igor deperraz    

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Publié le par igor deperraz

 

 

 

 

 

 

 

 

Un bateau, ça coule



Quoi de plus normal qu’un bateau coule lorsqu’il éperonne un récif rocheux ou un iceberg. Depuis l’invention de la caravelle qui permit à Christophe Colomb de découvrir l’île de Cuba, on sait qu’un bateau à fond plat facilite les manœuvres à l’approche des côtes et permet un accès rapide aux embouchures. La contrepartie de cette fluidité est la tendance naturelle du navire à chavirer. Le modèle économique du paquebot emportant 4000 passagers a fait la fierté du chantiers naval de Saint Nazaire   mais il  peut faire en quelques minutes le malheur de milliers de touristes. Aujourd’hui, le commandant a fait une erreur de navigation mais demain en pleine mer, un groupe terroriste enverra par le fond 4000 joueurs de machines à sou sans qu’aucun navire à proximité n’ait la capacité de les sauver .Il aurait fallu imposer aux armateurs une double coque comme pour les pétrolier et un bateau pilote accompanant  en permanence .A continuellement optimiser le profit au détriment de la sécurité, il ne faut pas s’étonner qu’une croisière se termine en cauchemar, digne d’un mauvais film américain. Devant ce gigantisme, le droit de la mer se doit d’évoluer, il n’est pas normal qu’un seul homme puisse décider du sort d’une petite ville et qu’aucune décision collégiale ne soit prise dans le choix des routes de navigation. Ces mastodontes de la mer, défiant les règles élémentaires de la navigation doivent se voir appliquer des règles spécifiques et contraignantes en terme de Droit de la mer.
Le commandant servira de bouc émissaire alors que la responsabilité incombe en premier à une réglementation internationale désuète et dangereuse.


Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mélenchon ne tient pas l’épicerie dans Amélie Poulain !

 

 

Jean Luc Mélenchon est un tribun hors pair. Devant les caméras, il joue et impose son rythme   .Ses arguments tiennent dans une relecture personnelle de Bourdieu. La pensée néo libérale s’immisce à notre insu dans les médias et le Capital impose sa loi à des Etats de plus en plus absents .L’Etat doit donc reprendre la main et imposer au système financier sa règle du jeu. Pour sortir de la paupérisation croissante résultant d’une Europe sans politique sociale commune, il n’y a qu’à reprendre la main, en d’autres termes revenir à l’Etat Nation laïc. En matière de politique de flux migratoires, La régularisation des sans-papier ne sera accordée qu’aux seuls travailleurs sans papiers…C’est ce glissement sémantique qui fait basculer l’analyse politique au calcul politique. Il y a dans ces propos sélectifs une vague ressemblance avec la préférence nationale défendue par le front National. Lorsque Plantu le caricature en compagnie du leader frontiste , le capitaine mégalo s’énerve et sort une fatwa « il ne l’emportera pas au paradis ! ».Heureusement Monsieur Mélenchon ne se prend pas pour Mahomet. Le Parti communiste qui n’ose plus porter avec fierté son nom et cache son secrétaire reprend le chemin de ses erreurs passés. Jean Luc Mélenchon part à la reconquête de l’électorat du PC partit sans laisser d’adresse au front National .Doit il pour autant remettre à l’ordre du jour la dictature du prolétariat ou plus simplement un Maoïsme de circonstance pour s’affirmer comme le premier des deux leaders populistes français. L’analyse sociologique de Pierre Bourdieu est intéressante et pertinente, mais il n’a fait que   donner des cours à des étudiants dans le but d’éveiller leur conscience politique. Les politiques qui veulent reprendre, dans le monde réel, les analyses et concepts de la philosophie politique et sociologique ne doivent pas s’écarter de la réalité au point de Kmèriser la population et se comporter en maitre des forges de l’enfer. La liberté et la tolérance sont les garanties individuelles et collectives d’un avenir du possible. Les restreindre porte les germes de la peste brune ou rouge selon les inspirations de ces tribuns, démagogues par définition.

 

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

 

 

 

Jours fériés*


Il est des propositions de campagne qui ne manquent pas de sel .Donner une journée de congé à chaque confession religieuse pourrait endiguer le déclin de la foi. L’histoire révolutionnaire de la République française montre que les fêtes religieuses n’ont pu être gommées arbitrairement de la société civile .Il y a incontestablement en France, une situation de monopole des fêtes catholiques. Même si ce temps religieux est dissous dans une forme d’amnésie volontaire. Il oblige le non croyant à une forme laïque d’absorption du concept religieux .Un mouvement spirituel pourrait alors faire valoir ses droits .La Religion universelle du Droit à la Paresse. La croyance dans le dieu « Oisif » pourrait alors inverser tout simplement le nombre de jours travaillés en France. Un sujet qui ne manque pas de faire polémique en ces temps de chasse à la productivité. Un jour travaillé et 364 jours chômés. Cette idée aura le mérite de remettre les pendules à l’heure sur notre conception du vivre ensemble .Au Moyen age, il arrivait que l’on ne travaille en moyenne un jour sur deux … .Certains économistes y voyant les raisons des grandes famines. Quoiqu’il en soit, cette idée donnerait à la religion du temps libre un afflux inespéré de pratiquants .Et le temps libre fut…


Igor deperraz

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