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Chroniques matinales

Chroniques matinales

Par deux points de vue passent une ...droite. Par un point de vue passe une gauche ou le contraire. Des chroniques et photographies publiées dans les journaux: "LE MONDE", "Le MONDE MAGAZINE" "LE MONDE TÉLÉVISION""LE NOUVEL OBSERVATEUR", "Le nouvel obs .fr","Les INROCK...", "LA TRIBUNE DE GENÈVE", "POLITIS",Action communiste .les informations dieppoises le réveil L'anticapitaliste, "La FRANCE "AGRICOLE",La Manche libre.fr "le Plus"."La VIGNE", "SINE mensuel "La Manche libre.fr" accréditation festival Albi, fête de l'Humanité. festival off Avignon. (plus de 1000 chroniques publiées) chroniques et flash info à Radio FMR Jusqu'à 2500 visites par jour....! événements ,photographies Igor Deperraz Normalien . études de cinéma à Paris-Sorbonne. jury Petits Molière Téléphone 0785473094

Publié le par igor deperraz
plage de 10 km

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Publié le par igor deperraz
La poste

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Publié le par igor deperraz
J'ai couru, couru et trébuché - Je voulais te voir te pencher sur les bords de l 'eau.
De ma malice, Sarah ,tu t'en amuses encore et me souris.
Tes pieds font racines au cœur de ce jeune hêtre devenu bien plus âgé aujourd'hui,
Du bout de la forêt des quatre chemins, tu t'ennuies aujourd'hui,.
De ce rêve d'un mois de Mai 42, tu n'es plus jamais repartie.
Prisonnier de guerre français mais algérien Taha, s'est endormi au Frontstalags 204 sans te donner l'eau de l'oubli.
Il faut dire que tu as eu peu de temps pour graver l'odeur chaude d'une terre que tu n'as jamais revue . Soir et matin, tu as creusé l'humus de la forêt pour y cacher des munitions que l'aviation anglaise ne pouvait détruire. Les surveillants allemands et français ne t'ont jamais quitté des yeux,
Jeune fille kabyle aux yeux bleus, à la peau mat tu es née sous les bombes alliées .
J'ai 10 ans et 10 kilomètres, on me cherche, on crie, je reste assis,
j'attends, blotti au bord de la mare .que ta jarre se remplisse. Tes yeux me regardent, me cherchent, pendant que tu désespères ton corsage. .
J'ai toujours dix ans, 10 kilomètres et tu es toujours là, tes yeux bleus, ta peau, tes lèvres ont le parfum des matins glacés
J'ai 10 ans, 10 kilomètres et tu as grandis Sarah.
Taha a 20 ans lorsque ses doigts t’effleurent sur l'écorce. Il a 20 ans et 10 kilomètres des plages du premier débarquement canadien.
Ton pied s'est posé sur une mine mais ta main n'a pas lâché le petit couteau avec lequel, jour après jour, tu lui avais donné vie ,
J'ai toujours 10 ans. Renoue ton corsage. Les tronçonneuses vrombissent à quelques pas,
Quelle indifférence pour une Joconde kabyle gravée au pied d'un champ de Hêtres.
Division d'infanterie d'Afrique, « indigènes « l'art brut n'aurait t il pas cité en ces musées. Sarah ,porteuse d'eau , Œuvre majeure du 20 siècle que les coupes menacent .Taha en dit le nom .La France en tait le nom,,
Igor
Porteuse d'O

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Publié le par igor deperraz
La porteuse d'O

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Publié le par igor deperraz
The boss

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Publié le par igor deperraz
for Amy Winehouse

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Publié le par igor deperraz
Surf man

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Publié le par igor deperraz
La liseuse des bords de Seine
La liseuse des bords de Seine
La liseuse des bords de Seine

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Publié le par igor deperraz
Hooper night

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Publié le par igor deperraz

Indignez vous, criez, respirez, libérez les théâtres, les jeunes et les cinémas

Qui êtes vous donc ?  Ceux qui par arrogance ou ignorance avez et voulez  confiner des millions de gens dans l’exigüité de leurs pensées ou de leurs étroits logis.  

Qui êtes vous donc ! Ceux qui pour  disculper votre honte d’avoir enfermé vos anciens dans des mouroirs sans âmes ni ciel bleu,  prenez en otages nos enfants en les murant dans la solitude des prisons exigües.

Qui êtes vous donc, infamie persistante pour avoir fermé les théâtres, musées et cinémas pendant que s’abrutissaient aux comptoirs des marchands du temple des cohortes de prisonniers, boulets de cartes de crédit  aux pieds.

Qui êtes vous donc tous ceux qui par des cris d’orfraies, infantilisez le peuple en les menaçants de prison pour respirer l’air du dehors.

Le peuple confiné et emprisonné pendant que les nantis se gaussent aux terrasses de Madrid ou dans leurs paradis ensoleillés.

Des millions de petites mains qui se lèvent chaque matin pour s’agglutiner dans des transports en communs bondés et restreints par économie de moyen.

Qui êtes vous donc suffisants,  égoïstes, vieux nantis pour faire pleurer nos enfants et accepter  que l’on nous confisque le peu que vous ne nous nous aviez pas encore pris : l’air

Pour le mal irréparable que vous faites à mes enfants et à tous ceux qui n’ont pas le sou. Je vous hais.

Vous pouviez fermer les grandes surfaces, nationaliser la production de vaccins, laisser les gens se promener à l’air libre, fermer les frontières, interdire les vols en avions .Non ! Asservir et punir

La haine  tout simplement  qui m’envahit.

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