Racisme ou réalité de l’Islam radical
Quelle est donc cette prude attitude qui consiste à exonérer les jeunes partis faire le violeur en Syrie ou ailleurs sous prétexte de guerre sainte ? on comprend que leurs parents ne les reconnaissent pas, mais pouvons -nous collectivement tolérer ce que font cette bande de pillards obscènes dans ce que l’on appelle avec un peu de légèreté « l’État islamique ».
Ces tortionnaires ne sont pas des victimes d’un endoctrinement sectaire comme on aimerait le croire ici ou là pour cacher une réalité plus crue .Ils prennent plaisir à égorger, tuer ou violer. S’ils ont su prendre la décision courageuse de quitter leur pays pour s’engager dans une armée qui a clairement affiché ses intentions, ils doivent avoir le courage d’en assumer les conséquences.
Ils devraient naturellement perdre la nationalité française et être jugés par un tribunal international siégeant dans un pays arabe.
Les criminels nazis ont été traqués et poursuivis toute leur vie, pourquoi n’en serait il pas de même pour ces jeunes hommes qui ont choisi la torture et l humiliation pour passer leur jeunesse.
On bouffe du curé, on se gausse des juifs en toute liberté, mais dès qu’il s’agit d’islam, il faudrait adopter une attitude bienveillante jusqu’à faire passer ses criminels de guerre pour des victimes d’une secte.
Sous prétexte de ne pas heurter une communauté, on a des réticences à évoquer la radicalisation du message religieux dans les prisons et quelques mosquées. Accepterions-nous aujourd’hui une église catholique se référant à la sainte inquisition.
Cette façon ultra minoritaire d’envisager la pratique religieuse de ‘islam » est à condamner et à bannir.
Igor Deperraz