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Chroniques matinales

Chroniques matinales

Par deux points de vue passent une ...droite. Par un point de vue passe une gauche ou le contraire. Des chroniques et photographies publiées dans les journaux: "LE MONDE", "Le MONDE MAGAZINE" "LE MONDE TÉLÉVISION""LE NOUVEL OBSERVATEUR", "Le nouvel obs .fr","Les INROCK...", "LA TRIBUNE DE GENÈVE", "POLITIS",Action communiste .les informations dieppoises le réveil L'anticapitaliste, "La FRANCE "AGRICOLE",La Manche libre.fr "le Plus"."La VIGNE", "SINE mensuel "La Manche libre.fr" accréditation festival Albi, fête de l'Humanité. festival off Avignon. (plus de 1000 chroniques publiées) chroniques et flash info à Radio FMR Jusqu'à 2500 visites par jour....! événements ,photographies Igor Deperraz Normalien . études de cinéma à Paris-Sorbonne. jury Petits Molière Téléphone 0785473094

Publié le par igor deperraz

 

 

 

 

 

 

 

Le train à petite vitesse  TGV ou TPV ?

Les trente ans du TGV ne peuvent nous faire oublier le temps où l’entreprise nationale nous transportait dans les moindres recoins de la France  à la vitesse du cheval au galop  .Un temps, qui a laissé place à la très grande vitesse,  fermant les petites lignes non rentables .Un démantèlement du réseau ferré qui s’averra  à long terme une erreur écologique et stratégique .Les transports en commun étant l’avenir du société à l’énergie chère  .Cette éloge de la vitesse qui prend sa source dans la course effrénée du toujours plus rapide n’a de sens que dans la nécessité pour quelques cadres rurbains de rejoindre la capitale .Gagner quelques heures de trajet perd tout son intérêt dans un projet de société qui favorise la réduction du temps de travail et la convivialité .Revenir  à la régularité des horaires , au confort du voyage suffirait à satisfaire une clientèle soucieuse de travailler dans le train ou de se reposer après une journée de travail.

Comme la vitesse sur la route, il serait temps de limiter la vitesse des trains en contrôlant leur vitesse par des radars automatiques .En affichant des horaires théoriques d’ultra- rapidité sur les lignes TGV, la SNCF oublie trop souvent d’additionner l’ensemble des  temps nécessaire à l’accomplissement d’un trajet. Attente au guichet, panne ou incident sur les réseaux secondaires, changement de gares, suppression des petites gares de proximité obligeant le stationnement dans des parkings éloignés de la gare ; prix nécessitant d’allonger son temps de travail pour rentabiliser ses transports. En trente ans effectuer un Paris- Rouen prend deux fois plus de temps .Rejoindre une gare TGV et attendre sa correspondance représente un gain ridicule de temps par rapport au coût économique globale des moyens mis en œuvre. Le TGV, en tant que ligne spécialisée et rapide peut se justifier pour les grandes distances mais le TPV, train à petite vitesse sécurisée suffirait à faire le bonheur de l’ensemble des voyageurs .Quel plaisir de voir défiler les paysages dans un train confortable et dont les horaires sont réguliers et respectés .Eloge d’une lenteur retrouvée pour un transport durable.

 

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Monde change le Monde

Le changement  de Management au journal « Le Monde », s’il n’influence pas, à ce jour  la qualité éditoriale pourrait handicaper à l’avenir la marge de manœuvre de la rédaction. Dans ces périodes de bouleversement, il est intéressant de replonger dans ses piles de journaux jaunis par le temps et de comparer le quotidien de 1976 dirigé par Jacques Fauvet  avec  celui d’aujourd’hui. La première impression est qu’en 1976, il était difficile de  lire les caractères d’imprimerie du Monde sans une bonne loupe. La première page étant surchargée d’informations.  Seuls les fonctionnaires des ministères devaient avoir le temps de décrypter ce condensé de mots. Malgré ce défaut technique, le journal se diffuse alors  à 611 000 exemplaires, une perte de deux cents mille en trente ans. Les quarante -quatre pages ont fondu en  34 pages .Le  Monde actuel est donc plus aéré, plus lisible mais coute six fois plus cher qu’en 76,.A l’époque il fallait sortir Un franc et quarante centimes. Les plumes ont presque disparu du nouveau journal.  En 76 Thierry PFister  amenait une opinion dans ses écrits alors qu’aujourd’hui, l’uniformité du recrutement amène une qualité irréprochable dans la rédaction des faits mais une sensibilité presque absente du propos journalistique. Les premiers dessins de Plantu apparaissent en page 5.Aujourd’hui, il est difficile d’avoir toujours et toujours Plantu en première de couverture...Après les critiques, mais nécessaire, le constat. L’information est disponible et gratuite, l’avenir  du journal passe par le retour des plumes  hors- sol .C’est en constatant que le journal n’accordait plus d’importance à ces petits faits de la vie quotidienne et que l’on pouvait traiter d’un sujet sérieux avec un point de vue décalée que j’ai souhaité écrire une chronique quotidienne ,qui a reçu, pour celles qui ont été publiées  un avis  amusé  et intéressé des lecteurs assidus du journal . Lecteurs que l’on pense trop souvent figer derrière la serviette en cuir d’un ministère. Il y a de la place pour décliner le sérieux d l’analyse avec le décalé du style bref. Encore merci à Dominique Buffier pour ses encouragements et André Fontaine qui me publia, il y a bien longtemps maintenant.

Igor Deperraz

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Publié le par igor deperraz

 

 

 

 

 

 

 

 

L’eldorado médical…..

 

 

 

Dans le désert médical français, de nombreuses oasis commencent à émerger .S’il devient difficile de trouver un dentiste pour se faire soigner une carie .Aucun ne refusera un client prêt à investir dans une belle couronne en céramique…On ne prend pas de nouveaux clients …Pour les enfants, l’orthodontie vous accueille à roulette ouverte, moyennant des suppléments d’honoraires de 400 euros par an à la charge des parents. L’oasis se transforme en Las Vegas de la chirurgie dentaire .Quel parent souhaite voir son petit dernier avec la bouche de travers .Ce n’est donc pas une pénurie de médecins qui menace le territoire Français mais bien l’appât du gain et du gros gain .En acceptant les dépassement d’honoraires, le système de santé français pousse les médecins à trouver des eldorados de la santé. En regardant sur le parking des cliniques privées, les marques allemandes se disputent la place .Et les spécialités qui rapportent ressemblent très rapidement au bandit manchot. Il n’est pas rare que l’on demande, en toute légalité d’opérer le patient 6 mois avant les autres moyennant le petit plus qui va bien. Comment les petites mains du travail sur le terrain que sont les généralistes peuvent ils vivre cette  différence entre ceux qui pour un simple bonjour au revoir vous prennent 60 euros et eux qui perçoivent une vingtaine d’euros pour un travail ingrat et de grande patience. Pourquoi ne pas appliquer à la police les mêmes dépassements d’honoraire ,les crimes seraient rémunérés très cher et le voleur presque rien .Nous ne verrions bientôt plus aucun policier se soucier de la tranquillité publique de proximité Seul les grandes affaires motiveraient ce corps .Nationaliser la santé en France est une idée qui doit faire son chemin .Les cliniques sont  possédés par des fonds de pension étranger qui emploie pour se développer  des médecins formés avec l’argent du contribuable français ,il serait donc normal que ces personnels de santé ne soient rémunérés que par l’Etat dans des établissement publics .Les services de santé doivent être accessible à tous et ne pas, pour des raisons d’argent nous clouer le bec devant des dépassement d’honoraires .

 

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

 

 

 

 

 

 

 

Cher Alain Finkielkraut,c’est  par cette formule de politesse que l’on  devrait commencer tout courrier, je me permets  d’apporter à vos propos quelques nuances qui me semble-t-il vous ont échappé. Du haut de l’école polytechnique,  vos propos peuvent recevoir un écho favorable et complice, mais dans les écoles, collèges et lycées la réalité conceptualisée est souvent confisquée par de brillants universitaires qui ne balayent jamais à leur porte et qui de plus, monopolisent  le débat nécessaire sur les pratiques dites pédagogiques. »Dans l’école humanitaire qui a succédé à l’école humaniste la mauvaise note tend à être perçue comme une humiliation et le redoublement comme un supplice médiéval »pour vous citer. C’est un résumé assez facile de la méthode sur  le discours. Les élèves sont le reflet de leur éducation, cette éducation étant une composition étrange de culture internet, livresque, ubuesque. Il n’y a, à un temps donné, que des élèves qui se fondent dans une société donnée .Quelque soit l'époque, ils ont la volonté de travailler, d’ignorer, de mépriser. C’est parce que l’école est le reflet du quartier et du milieu social qui lui est attaché que l’on trouve des élèves « réfractaires à la lenteur du livre » ou « l’écrit triomphe  mais c’est un écrit délivré de l’orthographe, de la syntaxe, de l’étymologie, de l’histoire de la langue »Cette réalité est la même que lorsque vous avez échoué à l 'école normale supérieure en 1968,sauf qu’aujourd’hui ,un plus grand nombre de figurants arpentent les couloirs des écoles .En regardant la photo de la promotion de doctorat de droit de l’université de Paris Assas datée de 1957 ,un simple cou d’œil permet de reconnaitre un proche .Aujourd’ hui ,un album ne suffirait pas .C’est l’ensemble de la société qui a bougé ,emmenant avec elle les mêmes réfractaires à la lecture, au travail . Il faut donc apporter à vos propos la nuance du temps qui passe  et finit par nous dépasser .Après ces réserves je ne peux qu’aller dans le sens de la « déconnexion de l’école « Mais je la voudrais aussi déconnectée des universitaires qui, pour reprendre votre langage « bavardes ou jacasses » .L école s’affaiblit d’être continuellement dans le feu des  expériences pédagogiques venues de brillants penseurs de l’éducation. La pax romana  pour les élèves et leurs professeurs amènerait peut être un peu de sérénité et de continuité dans l’Apprendre.

Igor Deperraz

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Publié le par igor deperraz

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Laurent Gbagbo porte des  polos en coton blanc .C’est la vidéo  diffusée en boucle sur les chaînes de télévision du monde entier .Est-ce un scoop, une nouvelle, une information, une humiliation ?On se souvient de Saddam Hussein sortant de son trou ,hébété sous le regard construit des caméras accréditées par l’armée américaine .L’histoire retiendra donc un président africain arrêté comme un bandit de grand chemin .Il s’en est fallu de peu  ,qu’on le filma ,menotté , sortant les mains sur la tête en slip ,comme dans ces prises d’otages où l’on craint les explosifs .Quelque soit l’homme et ses possibles responsabilités dans la violation des droits de l’homme ,nul ne peut être soumis à la violation de son intimité par le biais d’un cadrage malsain d’une prise de vue. L’arrestation de Laurent Gbagbo s’est faite avec l’appui des forces spéciales françaises sous mandat de l’ONU, il convenait d’assurer à l’ancien président de Cote d’Ivoire les mêmes droits que ceux promulgués par  les organisations internationales. Que penserions nous si l’ancien Président de la République ; Jacques Chirac était livré aux yeux impudiques des médias à la sortie d’un improbable procès. C’est donc une nouvelle fois, dans la France Afrique, un mépris de la dignité humaine, certes toute relative mais dont les excès sont en gestation. L’ONU se doit  de la condamner .Il appartient aussi aux médias d’établir une barrière éthique entre l’information et la manipulation .Cette arrestation n’est pas digne.

 

 

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le voile pas la barbe….

 

 

 Une étude britannique fait flores actuellement  dans la presse  . Avoir deux filles  amènerait  la félicité .Une version petite maison dans la prairie, revue et corrigée par une étude  statistique contestable tant sur le fond que  sur la forme .Le bonheur d’une famille dont  les deux filles portent la Burqua  contre l’avis de leurs parent ne semble pas avoir été envisagé par les auteurs de cette brillante étude .Avoir quatre filles aggravent par contre  la situation ...Relayer de telles idées , ,basées sur des questionnaires de satisfaction relève de la falsification et  participe à la courroie de transmission du prêt à penser .Elle amène insidieusement  une idée moins avouable ,les filles sont dociles .Elles font le bonheur de leur parents parce qu’elles ne contestent ni ne rendent la vie difficile à papa et maman  .Le bonheur serait- il d’avoir deux potiches à la maison ?Cette perception inégalitaire de la vie de famille relève tout simplement de la discrimination et d’un projet de société, basé sur des idées sexistes .Les filles sont sages ,les garçons polissons .Deux concepts simplistes et phallocrates.

A l’heure où l’on stigmatise uniquement les femmes  pour le port du voile et non les hommes pour le port de la Barbe qui cache pourtant  l’intégralité du visage, il faut raison garder et réaffirmer qu’élever ses enfants est un bonheur à consommer  sans modération.

 

 

Igor Deperraz

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Publié le par igor deperraz

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Service national universel

 

 

Avancer sur tous les terrains d’opération militaire en ayant un fort endettement et une armée professionnelle à effectifs réduits ne peut qu’entraîner une dispersion des moyens et par voie de conséquence une redondance dans les systèmes opérationnels à déployer. En Afrique l’opération Licorne tourne à l’opération mulet. Des militaires incapables ou prudent  de traverser un pont et de rejoindre un quartier pour évacuer des civils ; des ambassades « livrées » aux belligérants .Le professionnalisme et la compétence des militaires sont exemplaires mais en terme de stratégie, quelque soit la technologie employée, les forces au sol, c’est-à-dire l’effet de troupe est essentiel à la maîtrise des positions .En Irak ,la faiblesse des résistants face à des mercenaires bien armés et nombreux, aidés entre autre  par une  partie non négligeable de la population, entraîne un effet de balancier sans fin dans les villes assiégées .Une sorte de guerre des tranchées modernes . La volonté de puissance de la France se heurte à une réalité oubliée, il n’y a plus d’armée de conscription. Ces petites mains qui, bénévolement faisaient tourner les fourneaux des cantines et qui mettaient gratuitement leurs compétences d’informaticien ou de mécanicien  pendant une année au service de la communauté nationale. Revenir à une armée de conscription nationale dans un cadre respectueux des libertés publiques et respectant la parité hommes- femmes donnerait à notre politique étrangère une cohérence qu’elle a perdue depuis l'implosion de la conscription Une mesure qui,si elle était votée dans les prochaines années par un nouveau gouvernement socialiste ne manquerait pas de sel.

 

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

 

 

 

 

 

 

 

 

Monet  sur fil

 

Alors que Monet  remporte l’adhésion du grand public partout ou ses toiles sont exposées, d’autres chef- d’œuvre envahissent les salles d’exposition de plein air des dimanches de printemps. Le tableau de broderie, héritier de la tapisserie de Bayeux décline ses trésors d’inventivité et de créativité pour le bonheur d’un public averti. Combien d’œuvres méconnues ou dénigrées échappent à l’œil averti du connaisseur d’art .Bien sur, les grands classiques peuvent  provoquer l’hilarité .La belle jeune fille aux seins nus exposée dans  les tons pastels se laisse courtiser par l’extraordinaire tableau de chasse à cour .Très vite, on découvre au détour d’un stand encombré, un art populaire brodé sur un schéma dessiné par une artiste qui s’ignore .La dame de maison qui d’une passe  d’aiguille subvertit la belle licorne pour lui redonner une tonalité à la manière d’Andy Warhol. Les époques  se découvrent dans leurs particularités, les années psychédéliques donnant des tableaux surprenants de liberté dans une débauche de couleurs inégalées. C’est donc un art populaire, un art de maison que l’on pourrait opposer à l’art de la rue. Un «  house art » en devenir .Il y a matière à musetiser ces chef-d’oeuvre de l’art contemporain pour éviter leur disparition et leur détérioration. Devant la difficulté de mener à terme le projet d’une maison de l’histoire à Paris .Profitons de ce bel Hôtel particulier pour y installer le musée du tableau de broderie. Au fil du temps.

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

 

 

 

 

 

 

 

Pauvre scooter

 

Lorsqu’il est question d’exclure des centres villes les véhicules polluants, les piétons que nous sommes tous à un moment donné ne peuvent que se réjouir d’une telle mesure de santé publique. Le souffle retrouvé jusqu’à la lecture de la phrase achevée, la marche à pied pourra redevenir  une  cure de jouvence printanière  après ces longs mois d’hiver ou nous fûmes  calfeutrés dans des intérieurs surchauffés. A la casse les vielles Panhard, la Daf de Robert Solé et la mobylette d’Amélie Poulain .Place aux dernières générations de véhicules tout terrain consommant 15 litres de gasoil .et à ces deux roues catalysés made in china. L’artisan venant réparer la toiture avec son increvable pick-up 404 est prié de s’acheter de suite ,le dernier modèle japonais au cuir ramolli par les pages de publicité d’un mannequin filiforme. Des dernières Vespa qui illuminèrent la dolce vita nous restera qu’un pale souvenir d’une sensualité débridée .Le monde moderne se doit d’être propre et ostensiblement propre. Aux alentours, les pesticides et les cheminées des entreprises en périphérie pourront continuer à déverser leurs immondices sur le crâne chauve des habitants des champs .N’est ce pas la un remake de la fable de La Fontaine pour nous faire consommer, consumer. Des rats…….

Igor Deperraz

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Publié le par igor deperraz

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dictature du prolétariat, le retour…

 

 

 

L’organisation d’une  primaire pour désigner un candidat n’est pas contraire au droit ou n’entraîne pas un fichage de nos concitoyens .Elle est par contre, négatrice du droit des militants qui payent une carte ou qui s’investissent dans leur organisation à désigner leur représentant à l’élection présidentielle. En organisant un scrutin ouvert à tous, Le parti socialiste  prend le risque de voir un parti extrême ou d’opposition demander à ses partisans de voter contre le candidat de consensus et  imposer par ses votes  le candidat de la défaite assurée .C’est l’engagement et  la représentativité politique qui semblent  menacés par ce processus . Pourquoi un grand parti politique s’est- il lancé dans le populisme électoral en méprisant  pour l'occasion le travail de ses adhérents. La réponse ne peut se trouver que dans la fébrilité  des sections ou dans la comptabilité trop généreuse du nombre  réel d’adhérents .Le  direction du parti socialiste a peut être  eu peur de se voir imposer Ségolène Royal par une poignée de militants.  .A  trop suivre cet exemple ,on pourrait voir arriver dans l'avenir,à  la tete de la présidentielle  ,Nicolas Hulot à l'UMP  et Jean Luc  Mélenchon au parti communiste. Si l’on s’en tient à la logique des socialistes, rien ne sert d’avoir des adhérents , tout électeur est un militant du parti socialiste qui s’ignore. Curieuse conception de la vie politique. Quel intérêt  y -a-t-il dorénavant à s'engager ou s' impliquer dans la vie d'un parti. Les socialistes ont entamé par ce biais un processus de désignation qui s’apparente plus à la dictature du prolétariat qu'à la sociale démocratie qu’il semblait défendre.

 

Igor deperraz

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