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Chroniques matinales

Chroniques matinales

Par deux points de vue passent une ...droite. Par un point de vue passe une gauche ou le contraire. Des chroniques et photographies publiées dans les journaux: "LE MONDE", "Le MONDE MAGAZINE" "LE MONDE TÉLÉVISION""LE NOUVEL OBSERVATEUR", "Le nouvel obs .fr","Les INROCK...", "LA TRIBUNE DE GENÈVE", "POLITIS",Action communiste .les informations dieppoises le réveil L'anticapitaliste, "La FRANCE "AGRICOLE",La Manche libre.fr "le Plus"."La VIGNE", "SINE mensuel "La Manche libre.fr" accréditation festival Albi, fête de l'Humanité. festival off Avignon. (plus de 1000 chroniques publiées) chroniques et flash info à Radio FMR Jusqu'à 2500 visites par jour....! événements ,photographies Igor Deperraz Normalien . études de cinéma à Paris-Sorbonne. jury Petits Molière Téléphone 0785473094

Publié le par igor deperraz

Format de presse     bas les masques

 

La réédition des journaux de 1914, disponible en kiosque ne nous fait pas revivre que les moments tragiques de l’histoire de France, elle nous replonge dans la grande époque de la Presse papier. Une presse qui tirait plusieurs éditions par jour et qui se vendait à la criée pour 5 centimes le numéro.

 On découvre qu’en ces années 14, les bureaux de poste pouvaient être ouvert jusqu’à 21 heures et que l’on pouvait aussi s’abonner à la presse locale. Mais en ce mois d’Aout 14,2014 ! Ce qui surprend le plus le lecteur attablé à la terrasse d’un café, c’est le regard des passants …

Un journal qui ne se cache pas ! Depuis l’apparition du format berlinois, le journal n’a eu de cesse de se rétrécir pour finir par disparaitre complètements sur des Smartphones ou tablettes... Comme si lire un journal était une tare.

 Sur ces grands formats qui servaient aussi à se dissimuler des regards voyeurs de certains passants, on pouvait lire ostensiblement les nouvelles et les partager avec son voisin d’en face.

Lire un journal n’était pas en ce temps là un acte caché mais ostentatoire. Il faudra qu’un jour la Presse ne se cache plus et retrouve le chemin du format qui avait en son temps fait son succès

Igor Deperraz

Format de presse     bas les masques

 

La réédition des journaux de 1914, disponible en kiosque ne nous fait pas revivre que les moments tragiques de l’histoire de France, elle nous replonge dans la grande époque de la Presse papier. Une presse qui tirait plusieurs éditions par jour et qui se vendait à la criée pour 5 centimes le numéro.

 On découvre qu’en ces années 14, les bureaux de poste pouvaient être ouvert jusqu’à 21 heures et que l’on pouvait aussi s’abonner à la presse locale. Mais en ce mois d’Aout 14,2014 ! Ce qui surprend le plus le lecteur attablé à la terrasse d’un café, c’est le regard des passants …

Un journal qui ne se cache pas ! Depuis l’apparition du format berlinois, le journal n’a eu de cesse de se rétrécir pour finir par disparaitre complètements sur des Smartphones ou tablettes... Comme si lire un journal était une tare.

 Sur ces grands formats qui servaient aussi à se dissimuler des regards voyeurs de certains passants, on pouvait lire ostensiblement les nouvelles et les partager avec son voisin d’en face.

Lire un journal n’était pas en ce temps là un acte caché mais ostentatoire. Il faudra qu’un jour la Presse ne se cache plus et retrouve le chemin du format qui avait en son temps fait son succès

Igor Deperraz

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